Une Promenade En Forêt 1
Ağu 20, 2024 // By:analsex // No Comment
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Il fait un temps divin, plutôt chaud mais pas trop. Une sorte d’été indien qui se prolonge au fil de ces derniers jours de septembre sur la campagne charentaise. Marie-Hélène est ravissante dans sa tenue : petit short très moulant, orange pale avec des motifs floraux, et débardeur parme qui laisse ses bras nus et moule sa grosse poitrine. Avec ses longs cheveux noirs qui pendent librement en cascade sur ses épaules bien charpentées, elle est belle et sexy. Il n’y a aucun doute, ma femme a la trentaine radieuse.
Nous avançons tous deux sur un petit chemin forestier qui part derrière la maisonnette, gîte « deux épis » que nous avons loué pour un week-end amplement mérité. Le déjeuner a été arrosé et la promenade est une bénédiction. A quelques pas devant moi, Marie Hélène ne manque pas de voir que je mate sa démarche chaloupée et m’adresse un sourire un peu coquin. J’avance ma main vers sa croupe mais elle s’échappe en riant et nous parvenons à l’orée du bois.
– Tu crois qu’on peut se balader par là? demande-t-elle en faisant exprès de tendre encore plus son débardeur.
– Oui, je crois même que tu vas rencontrer un grand méchant loup en tous cas tu en verras la queue.
– Cochon, tu ne penses qu’à ça. Mais je voulais dire, tu ne crois pas qu’avec l’ouverture de la chasse on risque de se prendre du plomb dans les fesses?
– Ne t’inquiète pas, on est sur un chemin et il n’y a pas de problème.
Tandis que nous avançons, nous apercevons au bout du sentier un groupe d’hommes avec un chien. Assis sur un tronc d’arbre, ils mangent un casse croûte. En nous approchant, je constate qu’ils regardent Marie Hélène avec des yeux exorbités. Il y a là trois hommes entre 50 et 60 ans, assez gras, habillés en tenues vaguement paramilitaires, fusils en bandoulière et un jeune homme qui a l’air un peu demeuré en salopette bleue. Leur basset artésien vient me flairer les mollets amicalement.
– Messieurs, bonjour dis-je jovialement et un peu fort pour les inciter à me regarder moi.
Mais ils n’ont cure de mes salutations et dévorent Marie Hélène du regard sans aucune vergogne
– Bon appétit dit Marie Hélène qui met un point d’honneur à les ignorer superbement.
– Bon appétit! je répète à mon tour, mais ils s’en foutent et on dirait presque qu’ils vont se mettre à baver en regardant le cul de ma femme serré dans son petit short tandis qu’elle s’éloigne sur le chemin.
– Attention à ce qu’on vous prenne pas pour une biche! lance en ricanant le plus gros des trois, un homme chauve au visage rougeaud et aux petits yeux de verrat.
Connard, je susurre entre mes dents, mais je presse un peu le pas et nous avançons en silence pendant une centaine de mètres jusqu’à ce qu’un coude du chemin nous masque à leurs yeux.
– Quels porcs, dit Marie Hélène en rigolant. T’as vu comment ils me regardaient? J’ai cru qu’ils allaient me sauter dessus et me violer sur place!
– Oui, j’ai vu, c’est des gros beaufs. Je regarde ma femme que l’aventure semble avoir plus émoustillé que choqué. Du coup je plaisante : faut les comprendre ma douce, tu as mis un short de salope et ton popotin est très très excitant tu sais!
– Attends, répond-elle en haussant les épaules, je pensais pas qu’on allait rencontrer du monde, et encore moins des vicelards pareils dans ce trou perdu en foret!!
– T’énerve pas, je voulais dire que t as un beau cul et ca excite les hommes, c’est normal. Moi d’ailleurs…
– Humm, je vois que tu n’as pas perdu le nord toi, me rétorque Marie Hélène avec une lueur dans les yeux.
Je mets ma main autour de sa taille et palpe un peu la marchandise.
– Arrête, ils sont pas si loins!
– Tu as raison, marchons un peu
Dix minutes plus tard, nous parvenons à côté d’une sorte d’affut pour la chasse aux oiseaux. C’est une cabane camouflée encadrée par deux chênes et qui comporte une petite ouverture encadrée de broussailles et donnant sur un champ.
– Regarde chérie, c’est un poste de chasse. On visite?
Nous entrons dans la cabane et tandis que Marie Hélène se penche pour regarder le champ, je m’approche d’elle et prestement, baisse son short sur ses cuisses. Elle a mis un string mauve qui m’excite beaucoup et souligne l’arrondi de ses fesses
– Humm, salope tu sais comment me plaire! Je palpe son cul et commence à sortir ma queue pour me frotter à sa raie.
– Stoppe, Kadıköy travesti dit-elle en ronronnant et en tendant sa croupe . Si quelqu’un venait.
– Mais non! dis-je. Et puis on entendra de loin.
Je passe une main dans son débardeur, dégrafe son soutien gorge et le met dans ma poche. Puis je sors ses belles loches.
– Humm, tu es vraiment une petite pute ; ca t’a excité ces mecs qui te mataient, hein, tu as les tétons bien durs..
– Un peu, me dit-elle le souffle déjà un peu court, mais toi aussi j’ai l’impression, ajoute-elle en palpant mon sexe bien dur.
Ma main droite lâche son nichon et plonge vers son entrecuisses. Elle est déjà trempée et j’enfonce un doigt dans sa chatte et commence à faire quelques aller-retour tout en massant doucement son clitoris avec mon pouce. Elle pousse des petits gémissements et ca m’excite encore plus. Du coup, j’appuie sur sa nuque pour qu’elle se penche en tendant sa croupe. J’écarte ses fesses avec les mains et enfonce mon vit dans sa chatte. Je suis vite au bord de gicler quand tout à coup une voix s’élève derrière nous :
– Faut pas se gêner! Continuez!
Je débande à moitié et Marie Hélène rouge de confusion remonte son short. Derrière nous , devant l’entrée, les quatre hommes de tout-à-l’heure nous regardent en se marrant doucement. L’un d’entre eux se caresse l’entre jambes en matant les nichons de Marie Hélène qui se dépêche de les remballer dans son débardeur.
Euh, désolé fais-je, on ne pensait pas qu’il y aurait du monde. On va vous laisser.
Oh pas si vite, fait le gros chauve, on est entre amis, et puis y a pas de problèmes, nous ca nous déplait pas ajoute-t-il en faisant rire ses potes.
Je fais contre mauvaise fortune bon cœur.
– Au temps pour nous, mais bon, il n’y a pas de problème, on va rentrer, on vous laisse chasser.
Le gros chauve reprend:
– Allons, vous dérangez pas, faut pas être bégueule, et votre femme, elle est drôlement gironde, dit-il en regardant le corps de Marie Hélène avec des yeux immensément salaces. Mais bien sûr vous faites comme vous voulez, on est en République!
– Allons y, me dit Marie Hélène, honteuse et soulagée qu’on s’en tire à bon compte.
– Mais… reprend le gros, ca serait sympa de nous montrer un peu
– Pardon? fais-je
– Oui, ta femme pourrait nous montrer ses nibards, j’ai pas bien vu et allez, ca vaut bien ca le dérangement que vous avez causé.
– Mais vous êtes cinglés. Certainement pas dis-je. Laissez nous passer!
– Allez, fais pas ton timide, ta femme est belle, elle le sait, et je suis sur qu’elle aime ça en plus, après vous faites ce que vous voulez, promis, juré, craché.
Je n’en mène pas large. Les trois sont assez costauds sans compter leur fusils et quant au jeune, il a l’air totalement débile. Inutile de penser à appeler les gendarmes, ici les portables ne passent pas ou à peine. Non, il faut négocier. Je regarde Marie Hélène d’un air interrogatif. Elle me regarde, désemparée et un peu troublée.
– Allez montre tes loches, reprend le gros, ca te coute rien, ca nous fait plaisir et après basta, on se quitte et chacun mène sa vie.
– Sinon quoi lui dis-je d’un air un peu bravache
– Sinon? Mais sinon rien répond-il en se marrant. On force personne nous!
Le salaud. Je sens bien qu’il tient un double discours ce pervers. Alors je me décide d’un coup. Regardant Marie Hélène avec une moue désolée, je lui demande.
– Bon, montre leur à ces salauds et après on se barre.
Marie Hélène me regarde avec stupeur, comme si elle n’en croyait pas ses oreilles. Puis d’un geste décidé, elle remonte son débardeur sur ses seins. Ses gros nibards apparaissent, de beaux et gros melons aux aréoles foncées dont les pointes sont encore gonflées par mes caresses. Les mecs sont bouche béé. Peut-être me dis-je un peu tard, ne pensaient-ils pas que leur chantage marcherait.
– Oh la belle salope, fait le gros, tandis que les autres se rapprochent pour mieux voir. Ils encerclent Marie Hélène et me bousculent presque pour mieux voir. Je regarde le spectacle et me sent bizarrement excité.
Elle a des gros nénés! dit le jeune demeuré en tendant la main pour les lui toucher.
– Doucement!!! s’exclame Marie-Hélène en faisant un bond en arrière tout en rabaissant vivement son débardeur.
Je m’interpose.
– Kadıköy travestileri Bon, ça suffit comme ça, tas de connards, la promenade est finie, on repart
Mais je sens un truc dur qui s’appuie sur mon ventre. L’un des chasseurs appuie le canon de son fusil sur mon ventre. Il me regarde en se marrant, la bouche ouverte sur une rangée de chicots noirâtres. Même si le fusil est ouvert et visiblement pas chargé, ca me fout la pétoche
– Mais non ça suffit pas comme ça! dit-il , et faut pas être grossier monsieur,
– On peut même dire que ça fait que commencer! ricane le gros aux yeux de verrat. La p´tite dame a remballé trop tôt la marchandise, on n’a pas eu l’temps d’bien voir!
– Et vu que le monsieur devient grossier, ajoute celui qui est devant moi, on n’a plus de raison d’être gentil avec lui!
– Ne touchez pas à mon mari… murmure Marie-Hélène,
Je suis tétanisé. Jamais je n’ai été ainsi menacé. Ces abrutis sont capables de tout me dis-je.
Du coin de l’œil, je vois que les mains de Marie Hélène se soulèvent lentement, mais, qu’est-ce qu’elle fait? Je vois avec étonnement qu’elle enlève complétement son débardeur.
– Waaaahhh, elle en a une sacrée belle paire la salope!
– Elle a des gros nénés! répète le demeuré en s’approchant à nouveau.
– Faut l’laisser toucher, jusqu’ici il a connu qu’le pis des vaches!”
Les 3 hommes éclatent d’un gros rire gras tandis que le petit jeune plaque ses mains crasseuses sur les beaux seins blancs de ma femme. Elle fait la moue mais le laisse faire tandis que deux des chasseurs s’approchent d’elle à leur tour.
C’est une belle génisse qu’t’as là! me dit celui qui appuyait son fusil sur mon estomac. Et il contemple ses potes qui palpent Marie Hélène qui se laisse faire les yeux fixés vers le plafond de la cabane. Connard je pense, mais cette fois en silence ; puis je dis :
– Bon, vous avez vu ce que vous vouliez voir, alors, maintenant, soyez gentils, on se quitte bons amis!
-Eh, t’étais moins pressé tout-à-l’heure, me dis mon vis-à-vis dont je sens au passage l’haleine avinée. Attends donc! Moi aussi j’aim´rais bien tripoter un peu les nichons d’ta femme…
– Ecoutez, on n’est pas des bêtes, tout ca n’est pas grave, mais laissez nous y aller.
– Oh moi à la rigueur, j’veux bien, mais regarde les comme ils s’amusent, et ta femme ça doit lui plaire un peu, non, et à toi aussi d’ailleurs je suis sur, me dit-il avec un sourire narquois. – Vous êtes fou, je vous permets pas.. Il me coupe la parole et chuchote à mon oreille, tu veux pas que je te défonce la gueule, dis?
– Non, non, on peut s’arranger dis-je lâchement tout en observant avec une excitation qui me surprend le demeuré pétrir les seins de Marie-Hélène comme s’il s’agissait de deux boules de pâte à pain.
– Tu vois, me dis l’homme qui a suivi mon regard, tout ça c’est des jeux d’adulte, sans conséquence.. Mais pour être sûr que tu fasses pas de bêtise, René, poursuit-il, va donc me chercher la corde pour attacher l’monsieur, on s’ra plus tranquille après pour s’occuper d’sa p´tite dame!
L’homme nommé René abandonne à regret les fesses de Marie Hélène, entre dans la cabane et en sort avec un paquet de cordes.
En moins de 2 minutes je me retrouve assis dans l’herbe, pieds et poings liés, le dos appuyé contre le mur en rondins.
A trois mètres devant moi, je n’ai d’autre solution que d’assister impuissant aux attouchements que ces porcs font subir à ma femme.
Comme ils s’interpellent entre eux afin de s’encourager et s’exciter mutuellement en une sorte d’émulation malsaine, je peux bientôt mettre un nom sur chacun de leurs visages.
Le plus âgé, la soixantaine passée, gras mais taillé comme une armoire normande, cheveux blancs tirant sur le jaunâtre et grosses bacchantes de la même couleur, se fait appeler Tonton. Est-ce que ces tarés sont de la même famille? je me demande dans en un bref accès de lucidité.
Le pourceau chauve et bedonnant au teint apoplectique c’est René tandis que son pendant, à peine moins gras et rougeaud mais tout aussi chauve répond au doux nom de Roger. Le débile quand à lui est appelé Jojo par les autres.
En tout cas ils rigolent bien! Leurs grosses paluches calleuses, pleines de la graisse des fusils, de sueur et de terre mêlées, palpent fiévreusement le corps de Marie-Hélène, Travesti kadıköy laissant la trace de leurs sales doigts sur sa peau blanche et fine.
Marie Hélène ne dit rien, elle a les yeux levés vers le ciel et ne dit rien.
Merde voir ces salauds la tripoter comme ça me fout une gaule insensée. Je suis vraiment un dégueulasse, me dis-je tout en espérant que les liens qui me tiennent les mains vont bientôt lâcher, j’ai trop envie de me branler.
Dans un sursaut de honte je crie:
– Voilà bande de porcs, vous l’avez tripotée, maintenant ca suffit.
– Mais qu’est-ce qu’il veut celui-là demande Tonton en rigolant. Il est jaloux ou quoi?
– Détachez le, réclame Marie Hélène, vous avez eu ce que vous voulez et attention doucement! ajoute-t-elle parce que Jojo tire un peu brutalement sur son sein gauche
– Ah, faut pas abîmer la marchandise, dit Tonton! Jojo casse toi, maintenant c’est une affaire d’homme. Va tenir compagnie au monsieur. Et s’il fait trop de bruit, tu le baillonnes. Et si t’es trop excité t’as qu’à t’amuser avec lui. Pour toi c’est tout pareil, homme , femme ou chèvre, ajouta Tonton en riant. Puis il se retourne vers Marie Hélène
– Dis donc, maintenant qu’on se connaît, comment tu t’appelles?
– Je ne vous dirais rien espèce de pervers!
– Oh comment tu nous parles.
S’approchant avec une vivacité étonnante pour une si grande masse Tonton fait pivoter Marie Hélène et la plie de telle sorte que sa croupe vient tendre son petit short comme une montgolfière.
De sa main gauche il lui claque le cul.
– Aie, cria-t-elle, doucement!
– Ben ma petite faudrait apprendre à être polie alors, tu t’appelles comment?
– Marie Hélène, rétorque-t-elle un peu rageuse
– Et ben tu vois dis Tonton, c’est plus civilisé comme ça hein!
Il la retourna pour qu’elle fasse de nouveau face aux trois hommes
– René, Roger, je vous présente Marie Hélène
René vient faire un simulacre de baise main et Roger s’approche en ouvrant sa braguette. Il sort une longue bite assez sombre avec un gland rose et l’agite en rigolant :
– Marie-Hélène, voilà Popaul, il est très content de faire ta connaissance.
– Bon, reprit Tonton, tout va bien se passer, baisse ton short Marie Hélène
Marie Hélène reste interdite.
– Baisse le, reprend Tonton séchement
Marie Hélène baisse lentement son short en tortillant un peu pour faire passer ses hanches larges.
– Putain, cette salope me fait triquer dit René qui a carrément baissé son froc et laissé émerger d’un slip douteux une grosse pine très épaisse.
Marie Hélène a maintenant le short sur les chevilles et se tourne pour l’enlever
– Elle a un cul d’enfer ta pute, ajoute Roger jovialement en me regardant du coin de l’œil
C’est le moment que choisit Jojo pour dire :
– il bande son mari, je le sens ajouta-t-il en palpant ma bite à travers le pantalon.
– Mais c’est que c’est un cochon le mari de Marie Hélène!! dit Tonton en riant. T’as qu’à l’enculer ou te faire sucer par lui pendant qu’on tire sa femme!
Il se tourne vers Marie Hélène
– Allez, baisse un peu ton string qu’on voit ton petit minou.
Marie-Hélène hésite, me lançe un coup d’œil : Jojo a en effet ouvert ma braguette et extirpé la bite de mon slip. Mon excitation, hélas est visible et n’échappe pas aux yeux incrédules de ma femme que cela semble troubler..
– « Hé, r ´gardez! lançe Jojo.
Les trois hommes se mettent à rigoler.
– Dis donc, tu lui fais de l’effet à ton homme! reprend Tonton en se retournant vers Marie-Hélène, mortifiée du spectacle que j’offre à nos tourmenteurs
– Bon, ça suffit comme ça ma jolie! dit soudain Roger en baissant le string à sur ses chevilles. Instinctivement Marie Hélène cache son sexe de ses mains.
– Allez, montre nous ta minette! ordonne Tonton.
– Lentement elle enlève ses mains, découvrant son pubis soigneusement épilé.
– Pfiouuu, c’est d’la touffe de bourge d’la ville ça! dit René.
– Ah ça ouais, reprit Roger, ça nous change d’la Maryvonne qu’est poilue comme un sapeur!
– Ouais, fit Tonton, mais avant d’ passer au plat d’résistance on va offrir les amuse-gueule à Marie-Hélène!”
Tout en parlant il a extrait de sa braguette une queue encore au repos mais déjà d’une longueur et d’une épaisseur peu communes. Elle est parcourue de grosses veines violacées et Tonton la fait balancer mollement telle une trompe d’éléphant.
“Allez, à g´noux salope!”
Marie Hélène se rebelle — Ah, non! S’il vous plait
Mais son ton me laisse comprendre qu’elle n’y croit pas, merde, ça l’excite pas tout de même?
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