mon divorce

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Haz 19, 2021 // By:analsex // No Comment

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mon divorceLe retourJ’approche de Perrache quand mon boss m’appelle sur mon portable.— George, la réparation est annulée, le paysan a trouvé la raison de la panne de sa faucheuse, batteuse lieuse récolteuse botteleuse. Tu peux rentrer.— Bien, Je repasserai au bureau demain.— Merci de t’être déplacé à la place de Henri qui était malade, tu peux prendre le temps de la réparation en congé payé si tu le désires— Merci, je vais bien en profiter pour descendre un peu vers le sud. Bon, que me reste-t-il à faire, je suis indécis d’aller à Nice contre le retour à la maison et profiter de ce temps de congé avec Martine ma douce et tendre épouse. Je décide de choisir la deuxième option et mets mon portable hors service, des fois que le boss reviendrait sur son idée. À un demi kilomètre de la maison, j’ai droit à une crevaison, ce qui m’arrive presque jamais, c’est bien ma chance, j’amène la voiture à mon garagiste pour qu’il me change la roue et lui demande de me ramener à domicile. Paradoxalement, en arrivant, la maison est vide, en contrôlant sur le Jaloton de sécurité, je vois que Martine est partie il y a bien deux heures et qu’elle devrait bientôt rentrer. Je m’installe dans le salon en laissant les lumières éteintes. Je m’assoupis un peu quand j’entends un voiture, puis une deuxième arriver. Je reconnais la voiture de mon boss et d’Henri. Que viennent-ils chercher à domicile, ai-je fait un impair pour qu’ils viennent perquisitionner dans mes affaires.Je me retire dans l’appentis et curieux, je me cache discrètement. J’entends des rires dans la pièce d’à côté. J’entends mal les conversations, car Martine a mis de la musique, mais ce n’est pas une perqui. J’ai plutôt l’impression que les bords de mon crane me démange, Je sens des excroissances me démanger. Je patiente un peu jusqu’à ce que j’entende la musique s’arrêter, maintenant, je saisis la conversation. Pas de doute, la coquine profite de mon absence avec le patron et son suppléent. Je ne vois rien, mais j’entends et là pas de doutes. Ils manquent du respect le plus élémentaire vis-à-vis de mon épouse. — Suce salope, j’entends, cela te plaît d’avoir deux mâles pour toi.— Henri, si tu savais comme elle mouille, c’est un vrai fleuve. Sens un peu ce torchon qui lui servait de culotte. Ça c’est de la femelle.J’entends qu’il quitte le salon pour aller vers notre nid d’amour. Je vais m’amuser un peu. J’ai dans mon appentis, un bloc roue, à cause d’un voisin qui me bouchait toujours le passage. Je vais bien bloquer ces deux salauds. On va rigoler quand ils vont sortir. Une fois la deuxième voiture bloquée, je remonte à la maison très discrètement et je vois la porte de la chambre à coucher qui est restée entre ouverte et je vois ma chérie avec Henri qui est à genoux derrière elle en train de lui lécher la rondelle alors que mon patron lui offre sa frankfurt à déguster. La lumière est encore suffisante et je ne peux m’empêcher de sortir mon portable et clic-clac je mitraille cette scène digne d’un bon porno. Je ressors discrètement de la maison et appelle la femme du chef.Une nuit éprouvante— Bonjour Madame Bovard, j’ai quelque chose à vous montrer, Pouvez-vous me recevoir dans une heure. Il s’agit de votre mari.— Oui. Dans combien de temps.— Il me faut le temps d’arriver à pied, ma voiture est en réparation et celle de ma femme est immobilisée par deux autres voitures bloquées elles aussi.— Je peux venir vous chercher, je n’ai rien de particulier à faire.Je sais que c’est elle qui tient les cordons de la bourse, le pauvre. Il va déguster. Cinq minutes plus tard, je vois la Mercedes au bout de la rue et je me dépêche vers elle pour éviter d’être vu depuis chez nous. — Voila ce que j’ai photographié toute à l’heure et également une vidéo, lui dis-je en lui présentant mon portable avec les coupables en plein délire sexuel.— Je m’en doutais un peu que je n’étais pas l’unique casserole où il faisait mijoter. Vous m’en ferez une copie, mais allons donc à la maison, j’ai des envies de vengeance.… Expliquez-moi un peu comment c’est arrivé. Je lui explique bien volontiers comment j’avais été envoyé dans les environs de Lyon pour dépanner une machine agricole et que le paysan avait trouvé avant mon arrivée et fait tout seul la réparation, comment son mari, mon patron m’avait octroyé des jours de congé et que je lui avais annoncé que je faisais une virée au sud pour en profiter, que j’avais changé d’avis pour prendre ma femme pour en profiter à deux et ma surprise à ma rentrée, la petite vacherie que je leur avais faite, immobilisant trois voitures. — Un côté positif, on ne sera pas dérangé lors de nos explications.Il faut dire que la femme du patron, sous des airs sévères, m’a toujours attiré, j’aime son allure distinguée et décidée. En arrivant, nous garons la voiture, et nous engageons dans la maison. Pas de chance que j’y trouve mon patron. — Vous avez un ordinateur à vous ?— Oui, le voilà— Je vais vous décharger les photos compromettantes.Je finis le transfert quand le téléphone sonne et que j’entends Juliette, c’est le nom de la femme de mon patron, canlı bahis şirketleri répondre. — Alors Josef, qu’est-ce qui se passe ?— Ah ! Tu es chez George et immobilisé, qu’est-ce qui se passe ? Ah un dossier indispensable. Oui, je vois, mais je ne peux pas, j’ai mon carburateur qui ne fonctionne pas bien et justement j’ai demandé à George de me le lubrifier. Désolée, tu comprends bien que cela ne va pas.— Débrouille-toi. À ce moment-là, je me dis qu’il faut que j’avertisse la femme d’Henri, pour qu’elle ne les dépanne pas, j’en fais part à Juliette en lui donnant le numéro que j’ai sur mon portable. Après un essai infructueux et empêcher toutes surprise, on bloque la maison et elle me dit :— À nous maintenant.Sans plus d’explications, elle se colle contre moi, me tend ses lèvres. Sentant cette femme que je désirais en secret depuis longtemps, mon corps réagit brutalement, je la prends dans mes bras et commence à l’embrasser, elle doit bien sentir que mon bas ventre collé contre le sien manque du respect qu’un employé de son mari devrait avoir avec elle. Sans s’encombrer de sentiments, elle s’écarte légèrement et place sa main, juste sur mon zip déformé par l’émotion. — Hum, je crois qu’il y a là de quoi passer une bonne fin d’après midi.Désinhibé, je ne peux m’empêcher de mettre ma main sur sa poitrine qu’elle pousse en avant. — Ils te plaisent mes seins.— Plus que cela, ils me donnent envie de les baiser. J’aime les seins menus.— Viens, allons dans ma chambre, on va faire cela tout tranquillement.Sans trop s’attarder sur les préliminaires, on se déshabille mutuellement et tout de suite on se concentre sur les objets d’intérêt principal.Je me concentre sur ces seins, menus, mais avec des tétons bien marqués qui appellent aux suçons, tant-dit qu’elle prend les choses en main selon l’expression consacrée et commence à me traire la bite délicatement. Au bout d’un moment, sentant monter vers mon nez, des phéromones attirantes, je délaisse sa poitrine pour un moment pour me rassasier de son minou, qui est fort beau. — Cela fait un moment que je ne l’ai pas entretenu, vu le peu de visites que m’octroie mon époux, c’est un peu la forêt vierge, c’est comme mes aisselles, je me laisse un peu aller.— Ce n’en est que meilleur, je réponds en plongeant vers ce merveilleux gazon qui ne demande qu’à être brouté, sans oublier cette délicieuse petite fève à déguster sans modération.— C’est bon, j’aime beaucoup.Avec frénésie, je malaxe ses fesses qu’elle a, ma foi, fort attirantes, la douceur de ses cuisses a un effet dilatoire sur ma saucisse. Tant à boire l’ambroisie des Dieux, on se sent l’envie irrépressible de se laisser conduire par les phéromones et plonger son pistil dans ce calice en fusion. Remontant le long de son corps, car j’ai la bouche un peu poisseuse de son plaisir en face de la sienne, elle me la refuse, mais ma queue se trouve bien placée pour investir sa place de fête. D’un coup violent, je la propulse au plus profond de sa grotte des miracles. Juliette n’attendait que cela, elle répond bien à mes coups de semonce, son bassin s’anime d’une houle de plus en plus marquée. Elle ne dit rien, mais j’ai fortement l’impression qu’elle savoure en silence mon intrusion. Délicatement, je l’embrasse dans le cou, tout près de l’oreille gauche et parfois je prends le lobe que je suce avec délice. Elle transpire de plus en plus, rependant son odeur qui m’excite sous mes narines, pire, la voila qui lève ses bras, découvrant une toison fournie sous ses bras. Je ne tiens plus, je commence à lui lécher les aisselles, à savourer cette luxuriance un peu vinaigrée. Je ne sais ce qui se passe dans l’esprit des femmes, mais elle part d’un coup dans un orgasme violent, serrant mon sexe dans le sien avec frénésie. Je suis obligé de serrer les dents pour ne pas partir trop tôt, mais sans succès, elle me trait littéralement la pine pour en extraire son jus. Je me déverse à gros bouillons dans sa matrice si accueillante. Je me dégage, ma bite ayant perdu momentanément de sa superbe et il faut un peu reposer les bras et je m’étale à ses côtés.— George, j’aimerais te donner quelque chose que j’ai toujours refusé à mon mari, mon cul. Ma vengeance sera meilleure comme cela. Tu as été si tendre que je pense que tu pourras le faire sans que j’aie à le regretter et oubliant sa réticence préalable, elle me colle un magnifique patin, savourant de sa langue les reliefs de sa jouissance.— Je veux bien Juliette, mais il faut préparer l’anus à la visite, sinon c’est pas agréable pour une femme. Est-ce que tu as de la vaseline ?— Oui, je vais en chercher.Elle revient avec un tube qu’elle pose sur la table de nuit en se mettant à quatre pattes, J’ai l’impression qu’elle est pressée de pousser plus loin sa vengeance., mais je veux prendre mon temps pour goûter son petit trou. Il faut que je recharge et je n’ai plus la fougue de mes vingt ans. J’approche mon visage de l’entrée de service et avec ma langue, je commence à lui lécher l’oignon. — Mais George, c’est sale ce que tu me fais là.— C’est mon affaire, mais canlı kaçak iddaa est-ce bon ?— C’est délicieux, je n’aurai jamais pensé que le trou du cul pouvait être aussi sensible et réceptif de caresses.Une fois le fion enduit de salive, je me permets de mettre un doigt qui rentre sans problème, j’en profite pour tout de suite en placer un deuxième qui a un peu plus de peine à rentrer. Je les active en les ressortissant à moitié et les faisant tourner, j’écarte un peu les doigts et de l’autre main, je lui paluche gentiment le côté pile, passant de la balafre qui suinte le jus que je lui ai fourni, le bouton qui se rebelle. Je ressors mes deux doigts, entraînant un soupir de déception, mais tout de suite, j’en graisse trois des déjections qui sortent de son sexe, une fois bien enduit, je les replante dans le fondement, provoquant un gémissement de plaisir retrouvé. À force de la voir apprécier le traitement, je sens que mes forces reviennent et je rebande à nouveau bien dur. — Juliette, je suis prêt et je pense que ton œillet l’est aussi.— Viens, j’ai vraiment envie que tu me prennes comme cela, mes intestins réclament ta présence réconfortante.Il n’en faut pas plus et avec précaution, j’avance ma queue vers son trou du cul, j’appuie doucement sur le pertuis quand Juliette d’un violent coup de cul s’enfile jusqu’au trognon.Le proverbe dit : ce que femme veut, Dieu le veut, c’est pas que je me prenne pour Dieu, même si je suis en train de sonder l’insondable. C’est vraiment super la sodomie, à croire que les femmes ne le font qu’avec leur amant. Martine qui se faisait enculer par Henri, m’avait toujours refusé l’accès à son arrière-train. Tout comme Juliette à son mari. Drôle la vie. Gaillardement, je lui bourrais le cul avec entrain, mais petit-à-petit, la fatigue se fait sentir sur les bras et sans me sortir, je lui propose que je me mette sur le dos et qu’elle mène la danse. Par commodité, elle se dégage et me laisse m’étendre sur le dos avant de me tourner le dos en se laissant descendre sur mon mandrin. Une fois emmanchée, elle se penche de mon côté et je peux à nouveau lui prendre les seins et les câliner, mais cela ne dure pas très longtemps, elle se redresse et faisant jouer ses cuisses musclées, elle entreprend de se masturber sur ma queue. Maintenant elle passe de penchée en arrière, puis en avant, Je me redresse un peu pour avoir accès à son bouton magique, mais ce faisant, je diminue sensiblement la longueur de pénétration, ce qui est mal accepté.— Reste couché et laisse-moi faire, me recommande-t-elle.Je la laisse de jouer avec ma pine dans son cul, comme d’un dilo et j’en profite pour me relaxer, car la tension et la pression sont bien élevées. Heureusement que j’ai déjà craché une fois, sinon, cette brillante enculade serait déjà terminée, tellement que j’ai de plaisir à la laisser se baiser. Sans se désemmancher, elle fait demi tour et maintenant elle me fait face, Dieu que c’est beau de la voir en extase sexuelle. Toujours avec la queue dans le cul, elle se penche vers moi et m’embrasse avec passion.— George, c’est divin, j’adore de baiser de cette manière. Si cela ne t’embête pas, tu vas être promu comme mon amant officiel.— Oui, si tu ne me demandes pas l’exclusivité.— Cela ne m’intéresse pas. Qui envisages-tu de séduire ?— Pas ma femme en tous les cas, je vais divorcer, car je n’admets pas sa tromperie. Mais je pense rendre un chien de ma chienne à ce brave Henri.— Je me sens entrer dans une ère nouvelle, ce que je me freinais au paravent, j’ai l’impression qu’il explose, je veux parcourir toutes les facettes du sexe.— On pourrait inviter la femme d’Henri et on ferait un joli trio. Tu n’as jamais goûté à l’amour lesbien ?— Non, mais cela pourrait être une expérience, mais en attendant, j’aimerais bien déguster ton roseau.— Il a encore des traces de mon passage dans tes intestins. Il serait mieux qu’on passe sous la douche pour mieux apprécier. C’est ainsi que je restais la nuit à forniquer avec elle. Vers minuit, Josef son mari, essaya de rentrer au bercail, mais Juliette avait fait le nécessaire pour empêcher son retour. Puis il y eut le téléphone, où il commença par menacer, mais devant le fait que sa femme avait les preuves de son infidélité, il supplia, jura, même pleura. Ce qui me fit tout drôle d’entendre ce chef pleurer devant son épouse. Juliette resta ferme sur ses positions, lui affirmant même qu’il pouvait aller se réfugier chez ma femme, puisque je lui réglais le chauffage ici et que j’étais nettement plus performant que lui.Finalement de guerre lasse, il partit avec Henri qui l’attendait avec la voiture de sa femme. Il faut dire que toute à notre félicité, nous avons oublié de l’avertir.Le lendemainDes surprises il y en a eu, repus d’une nuit de débauche où Juliette essayait de ratt****r le temps perdu, pendant le petit déjeuner, elle téléphona à l’entreprise à son mari pour mettre les points sur les i. Elle tomba sur la secrétaire qui lui annonça qu’il n’était pas encore arrivé. — Dites-moi Joséphine, j’aimerais vous poser une question indiscrète .— Oui canlı kaçak bahis je vous écoute.— Tout d’abord, je dois vous annoncer qu’il y aura des changements à la tête de l’entreprise, très probablement, mais ensuite, est-ce que mon mari a toujours eu une tenue exemplaire avec vous.— Oui, madame.Se tournant vers moi en cachant le micro : — Tu le crois ?— Pas trop, l’an passé, à la sortie de l’entreprise, j’ai bien l’impression qu’elle y a passé. Je les ai vu danser de manière un peut trop intime, autrement, je n’ai rien remarqué, mais je ne passe pas non plus mon temps à espionner les autres.Découvrant le micro :— J’ai des informations que lors de la dernière sortie de l’entreprise, vous l’avez bien chauffé.— C’est vrai, je tenais à ma promotion, je suis seule à élever mon enfant. Mais on s’est arrêté au flirt.— Et avec Henri ou George ? Pas l’espace d’une petite incartade ?— Non madame, j’ai déjà assez de problème avec mon fils qui arrive à l’âge adulte.— Bien, quand mon mari arrivera, dites-lui de me téléphoner et convoquez le conseil d’administration pour la semaine prochaine.Se tournant vers moi.— Quelle est ton impression ?— Probablement qu’elle dit la vérité, elle est belle, mais je dirais inaccessible à la gent masculine. Entre mec on l’avait surnommée Frionor, elle est toujours fourrée avec une copine, une rousse un peu hommasse, cheveux très court, elle ferait du catch que cela ne m’étonnerait pas. Le retour à la maisonAprès le déjeuner, on a convenu qu’on se rappellerait dans la soirée pour faire le point avec Juliette. Dans l’après-midi, j’allais récupérer ma voiture et je rentrais à la maison où ma femme m’attendait de pied ferme. — Alors quoi ? m’interpella-t-elle.— Que veux-tu que je te dise,Je préférais qu’elle attaque le problème, elle ne savait pas ce que j’avais vu et ce que j’avais en ma possession. — Tu as fait quoi hier soir ?— Que veux-tu dire par là ?— Mais tu as bloqué la voiture de ton patron et de Henri qui venait rechercher un document dans ton bureau.— Pourquoi ne m’ont-ils pas demandé ? j’étais toujours sur téléphone,De plus en plus confuse :— Mais c’est bien toi qui les as bloquées leurs voitures.— Oui, répondis-je laconiquement.— Pourquoi tu n’as rien dit ?— Que devais-je dire ?— La raison pour laquelle tu les bloquais.— Ah ! Et c’est quoi la raison selon toi ?— Bien je ne sais pas. Tu vas me le dire.— Ont-ils seulement recherché un dossier qui n’était pas là ?Reprenant espoir, ma pute de femme :— Oui et quand ils ont voulu repartir, pas possible.— Et tu ne leur a rien offert ? Glissais-je malicieux.— Si un apéro.— Seulement ?— Dis-moi, tu as vu et c’est la raison de ce blocage !— Vu quoi ?— Que je t’ai trompé avec eux.— Enfin. Oui, j’ai même immortalisé la scène sur mon téléphone.— Salaud. Je comprends pourquoi ton directeur a voulu revenir cette nuit.— Et il a réussi ?— Non, quand j’ai vu qu’ils étaient bloqués, je n’ai plus rien voulu savoir, j’avais compris que tu étais au courant et je ne voulais pas en rajouter.— Et cela fait combien de temps que je porte des cornes— Six mois, j’ai été piégée lors de ton déplacement à Hongkong, Ton directeur m’a invité à souper et comme je m’ennuyais, j’ai accepté, je ne sais comment, mais on a bu plutôt beaucoup et ensuite je ne me souviens plus bien, si ce n’est que le lendemain, il dormait à côté de moi et Henri, le brave Henri était à côté, sa main entre mes cuisses que je trouvais bien poisseuses. Encore l’esprit embrumé, je n’ai pas su les repousser et ils m’ont baisé toute la matinée, c’était super et depuis, à chacune de tes absences, on recommence. J’ai bien essayé de m’y opposer, mais d’une part, c’était tellement bon et en plus il y avait les photos qu’ils avaient faites.— Un couple ne peut bien fonctionner que sur la confiance, Entre nous ce n’est doublement plus le cas, tu n’avais pas confiance en moi que je puisse sortir cette épine de ton pied et tu as préféré le silence et moi, du fait que tu m’aies trompé pendant six mois, je n’ai plus confiance en toi. Tu ne vois pas d’inconvénient à ce qu’on divorce je suppose. J’ai les preuves de ton infidélité sur mon téléphone. Ce sera à tes torts exclusifs et je ne compte pas te verser une pension. Un fixe pour que tu puisses te retourner, à la rigueur, mais tu as une merveilleuse profession, coiffeuse. Tu pourras la reprendre, ou éventuellement te mettre à la colle avec le directeur qui ne le sera plus bientôt. J’ai transmis les photos compromettantes à sa femme et c’est elle qui a le capital.— Je comprends, je ne vais pas te créer de problème et si tu veux à l’occasion qu’on se revoie, ce sera avec plaisir. Laisse-moi quelques jours pour m’en sortir.— C’est OK, mais on divorcera, je vais demander au juge qu’il prépare la procédure. Tu veux un avocat ?— Non, je pourrai peut-être gagner quelques francs, mais cela ne serait pas honnête et c’est surtout lui qui en gagnerait.— Alors on le fera à l’amiable.— Il faut que je te le dise, si j’ai bien apprécié de me faire baiser, c’est quand même toi que j’aime.— Oui, je te crois, en offrant ton cul aux autres et en me le refusant et dire que j’ai du connaître les joies de la sodomie chez Juliette.— Juliette ?— La femme du directeur. Tu crois que quand j’ai vu où vous en étiez je suis allé à confesse ? Non, j’étais hors de moi, mais je ne le regrette pas,

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