Mélanie

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Mélanie a 24 ans.

Elle vit depuis trois ans en couple avec Jérôme, un garçon de son âge. Physiquement, sans être un canon, elle ne laisse pas les hommes indifférents: 1,68m pour 65 kilos, de beaux cheveux brun coupés au carré, un mignon petit nez retroussé, un fessier bien rond et surtout une jolie poitrine 95D qu’elle adore mettre en valeur pour plaire à son homme.

Sexuellement, les deux amoureux ont exploré tout ce qu’on pouvait faire entre deux adultes consentants, ils ont même essayé quelques fois les clubs libertins où ils ont fait l’amour avec plusieurs couples.

Mais depuis quelques temps, Jérôme trouve que leur vie sexuelle manque de piquant et s’en ouvrit un soir à sa dulcinée.

Mélanie finit par lui avouer qu’elle aimerait “au moins une fois” réaliser son fantasme de soumission.

-“A quel genre de fantasme penses tu, bébé?” demanda Jérôme

Mélanie prit son courage à deux mains et lui parla d’un petit scénario qu’elle s’était fait dans sa tête : elle s’imaginait enlevée chez elle par un groupe de lascars qui feraient d’elle leur esclave sexuelle.

– “Ouah, ma chérie, je ne te pensais pas aussi coquine!” répondit Jérôme.

Il s’était retenu de dire “aussi salope”, mais il le pensait très fort. Le cerveau de Jérome se mit à tourner à toute vitesse.

Les jours suivants, il passa plusieurs coups de fil à des copains et des copains de copains. Un soir, il rentra à la maison et annonça fièrement à Mélanie: ” bébé, si t’es toujours partante, on réalise ton fantasme, mais attention, quand ce sera parti on ne pourra plus l’arrêter!”

Mélanie regarda son homme avec détermination, une lueur de perversité dans le regard (et une chaleur malsaine dans le bas ventre): “D’accord mon amour”

Aussitôt dit, aussitôt fait. Mélanie observa les instructions du jeune homme: désormais elle dormirait nue et la porte de l’appartement serait laissée non verrouillée.

La semaine se passa sans incident, sauf que Jérôme profitait de sa nudité quasi permanente pour la sauter six fois par jour, excité par le scénario! Mélanie finit par se demander si Jérôme ne l’avait pas menée en bateau.

Non, Jérôme ne l’avait pas menée en bateau, il s’était réellement entendu avec le copain du copain d’un copain pour réaliser le scénario.

Sauf que le type, un véritable pervers, maquereau à ses heures, s’était fait une spécialité du “dressage” des putes, n’ayant pas son pareil dans le milieu pour briser le corps et l’esprit d’une fille et l’amener à une obéissance complète.

En se couchant ce vendredi soir vers 23 heures, Mélanie ne pensait quasiment plus à cette histoire.

Les yeux clos, elle guettait le moindre bruit mais rien. Bientôt elle fut envahie par la fatigue et s’endormit.

Elle fut réveillée en sursaut par la sensation d’être touchée par une main. Mélanie ouvrit les yeux et se retrouva face à au moins trois types encapuchonnés.

La surprise la fit crier mais un des types lui passa immédiatement la main sur la bouche pour étouffer son cri tandis qu’un autre lui colla la lame d’un couteau sur sa gorge.

– “Crie et on t’égorge!” grogna t il.

L’autre ne perdait pas de temps: il avait empoigné un de ses seins et le malaxait avec avidité.

– “On était juste venu pour piquer du pognon et des téléphones mais voilà le genre de petite blanche à asservir d’urgence” dit il.

– “ouais” ajouta celui qui la bâillonnait, “on va la rendre bien obéissante, qu’elle fasse tout ce qu’on veut”

Affolée elle regardait autour d’elle pour chercher Jérôme. Elle le trouva dans un coin de la chambre, ligoté et bâillonné, regardant fixement la scène impuissant.

Le “scénario” se réalisait-t-il ou était ce une agression?

En un instant, Mélanie eu les pieds et les mains liées, un bandeau sur les yeux et un gag-ball dans la bouche.

Le plus costaud de ses agresseurs la prit sur une épaule comme un sac et la petite troupe se mit en route. Les escaliers de l’immeuble vite dévalés, Mélanie se retrouva bientôt sur la tôle froide de ce qui semblait être l’arrière d’une fourgonnette qui se mit aussitôt en route.

Deux des types restèrent avec elle à l’arrière et commencèrent lui peloter les seins, la vulve.

– “Putain mais elle mouille”

– “ça va être du gâteau, on va en faire notre esclave sexuelle, on pourra même la vendre gaulée comme elle est, y a Mourad qui a des parts dans un bordel en Allemagne, on pourra l’y mettre pour qu’elle rapporte”

Cette discussion, qui devrait pourtant terrifier Mélanie, eut pour effet de l’exciter encore plus: elle ne put s’empêcher de gémir sous les caresses des deux voyous.

“Putain, mais elle couine en plus, j’en peux plus, faut qu’elle me suce”

Le lascar écarta le bâillon et introduisit sa bite dans la bouche de Mélanie. Une bite épaisse, au gout fort.

Cela eut un effet fou sur la jeune femme qui commença à pomper avec avidité ce sexe

– ” Comme elle suce bien” siffla l’homme.

L’autre ne voulut pas être en reste: il défit les liens des pieds, attrapa les cuisses Escort Esenyurt de la jeune femme, les écarta pour se frayer un chemin jusqu’à sa chatte et y introduisit son engin.

Spectacle saisissant: à l’arrière d’une fourgonnette, deux types encapuchonnés baisaient comme une poupée gonflable une femme ligotée les yeux bandés.

Un des types qui se trouvait devant les apostropha:

– ” N’abimez pas la marchandise, son dressage ne fait que commencer, en plus on va pas tarder à arriver. Mec, ne jute pas dans sa chatte, attends que les autres soient là”

L’homme se retira de la chatte de Mélanie et força sa bouche. L’autre type était sur le point de jouir, et c’est pas moins de deux rasades de foutre que la jeune femme dut avaler pour ne pas étouffer.

– “Sur la vie de ma mère, qu’elle est bonne, je la baiserais toute la nuit!” dit le premier.

– “Allez, moi j’en veux encore, je prends sa chatte” reprit le second.

Bientôt, la fourgonnette arriva dans une zone industrielle déserte à cette heure de la nuit, et entra dans un des bâtiments et s’arrêta enfin.

A l’arrière, la partie de baise s’était poursuivie: les deux types, rejoints par le passager avant qui n’en pouvait plus, baisaient en cadence Mélanie, qui dans sa bouche, qui dans sa chatte ou se branlant entre ses seins, et échangeant les positions.

Mélanie était dans un état second, surexcitée par sa situation de pauvre fille soumise aux derniers outrages par des types qu’elle ne voyait même pas.

Et ça ne faisait que commencer….

Les portes battantes du fourgon s’ouvrirent brusquement: le type qui conduisait sonna la fin de la récréation: “Allez les mecs, sortez vous de là et sortez moi cette pute. Elle commence à peine son dressage!”

Mélanie fut redressée et sortie sans grands ménagements de la fourgonnette. Le bâtiment était une sorte de hangar de stockage pour une boite de télécoms: des bobines de fil, des cartons et une paire de petites camionnettes de dépannage.

Se trouvait également là, scrutant avec avidité la sortie de la jeune femme,

une douzaine de types, tous mis dans la confidence et ravis de faire partie du scénario. L’un d’eux travaillait pour la société propriétaire du hangar et avait donc assuré la “logistique” de la soirée.

Tous étaient hallucinés de voir le spectacle qui s’offrait à eux: une magnifique petite blanche nue, les yeux bandés et ligotée, qui ne demandait qu’à être baisée et à devenir une esclave sexuelle!!

Le chauffeur de la camionnette prit la parole: “les mecs, on est tombé sur cette bonasse qui roupillait à poil dans son pieu alors qu’on allait cambrioler son appart’. On s’est dit qu’en plus du pognon et des bijoux, on pourrait en plus prendre cette pute comme butin! En plus, on a été discrets, personne nous a vus, donc on peut en faire ce qu’on veut, personne la cherchera!” ricana t il.

Mélanie avait entendu ce discours, qui la laissait partagée entre peur si il s’agissait d’un enlèvement crapuleux (ces salopards pourraient très bien mettre leurs menaces à exécution et elle se retrouverait baisée durant des semaines comme un morceau de viande pour briser son esprit avant d’être copieusement camée et d’atterrir dans un bordel à l’étranger) et l’excitation de la situation et d’être l’objet sexuel d’un nombre indéterminé de types si on était dans le scénario de Jérôme.

Elle n’eut pas le temps de poursuivre ses réflexions plus avant car ses “dresseurs” prenaient les choses en main: Mélanie fut culbutée en avant sur le capot d’une des camionnettes de dépannage afin que son cul, sa chatte ou sa bouche soient à la disposition de tous. Ses mains furent déliées de derrière son dos pour être à nouveau attachées avec du câble électrique aux rétroviseurs.

– “Allez les mecs” dit le chauffeur “elle est à vous. Baisez la, tronchez la comme la grosse pute qu’elle doit devenir. “

Ce qui fut bientôt fait: un type se plaça derrière elle et la pénétra d’un coup sec avant de commencer à la limer profondément, tandis qu’un autre força sa bouche et se mit à faire des vas et vient comme s’il était dans sa chatte.

Toujours aveuglée, Mélanie ne voyait même pas le visage de ceux qui profitaient de son corps.

Elle était aux prises avec au moins dix mecs, et ils comptaient bien profiter à fond de cette belle pouliche.

Ce qu’elle ignorait, c’est que tous avaient ingurgité la dose maximale de pilules érectiles pour la baiser sans merci et éjaculer sans limite.

Les coups de bite se succédaient, dans la chatte, dans le cul, dans la bouche, chaque

Au bout de trois bonnes heures de défonce intensive, les dix mecs avaient chacun éjaculé quatre fois, dans sa chatte, sa bouche ou son cul.

Mélanie était maintenue sur le capot de la camionnette, toujours attachée, ravagée par les orgasmes et les coups de bite, du sperme dégoulinant de ses orifices.

Peu à peu, Mélanie sentait son esprit s’embrumer, arrêter de penser, ne plus être occupé que par le sexe, l’envie de bites et de sperme, de toujours plus de Esenyurt Escort Bayan bites et de sperme.

Au petit jour, l’orgie continuait de plus belle dans le hangar: tous les orifices de Mélanie étaient constamment occupés par de grosses bites. Pour éviter de baiser un sac de sperme gluant, les mecs éjaculaient désormais soit dans sa bouche, en lui intimant l’ordre d’avaler, ou dans une grande bouteille d’eau vide.

Mélanie semblait avoir perdu tout libre arbitre: elle prenait en bouche toutes les bites qui étaient présentées à l’entrée de ses lèvres, et elle n’avait de toute façons pas son mot à dire sur celles qui s’enfonçaient dans son vagin ou son anus.

La partouze se poursuivit tout le dimanche, Mélanie fut nourrie uniquement de sperme.

La plupart des types tirèrent leur révérence le dimanche en début de soirée, les effets de la pilule dissipés, non sans avoir mis une claque sur le cul de cette belle pute.

Il ne resta bientôt plus que ses trois ravisseurs, contemplant la scène de cette fille baisée dans tous les sens,

– “Alors petite pute, ça t’a plu?” demanda l’un de ses ravisseurs en ôtant son bandeau à Mélanie.

Les yeux de la jeune femme semblaient complétement vides, seul un vague sourire de ses lèvres entourées de sperme éclairant son visage.

L’homme connaissait bien cette expression: c’était le visage de l’extase de la femelle devenue esclave soumise dont l’esprit est brisé

– “Oui” souffla t elle.

– “Maintenant t’es à nous!” reprit un autre. “Ton cul, ta chatte, ta bouche, on les donnera à qui on voudra et toi, t’as pas ton mot à dire, t’écarte”

-“Oui, je suis votre esclave obéissante, maîtres” gémit Mélanie, complétement soumise.

L’homme eut un rictus de satisfaction.

” ta nouvelle vie commence maintenant, esclave” conclut il en ricanant.

Jérôme avait pu se libérer de ses liens assez rapidement après le départ de Mélanie et de ses “ravisseurs”. Il avait convenu avec eux de ne pas demander de nouvelles, ce sont eux qui en donneraient.

Tout le samedi matin il attendit, partagé entre angoisse et excitation.

Il reçut finalement un MMS vers midi: C’était une courte vidéo de dix secondes, sans texte, où on voyait Mélanie, toujours aveuglée, attachée sur un capot de voiture, baisée par un black monté comme un âne, la bouche déformée par la bite d’un autre type, en train d’étouffer un orgasme, un nombre indéterminé de mecs autour en train de se branler en attendant leur tour.

Jérôme se repassa plusieurs fois la vidéo en se branlant avant de jouir dans sa main.

L’après midi se passa dans l’attente fébrile d’un nouveau message. Celui ci arriva à nouveau sous la forme d’une vidéo, d’une trentaine de secondes, montrant Mélanie à genoux, encerclée de bites lui éjaculant dans la bouche, sur le visage, dans le cou, puis buvant au goulot une bouteille contenant visiblement une grosse quantité de sperme. La vidéo était accompagnée d’un message: “l’asservissement se passe bien, on nourrit l’esclave!”

Cette vidéo déclencha une violente érection à Jérôme, mais il ne put s’empêcher de se faire aussi du souci pour sa dulcinée. Qu’allaient faire d’elle ces salauds? Avait il eu bien raison de réaliser ce fantasme un peu hard? Et surtout comment allait elle en revenir?

Une nouvelle vidéo lui arriva dimanche midi cette fois par mail. Beaucoup plus longue, plus de cinq minutes, elle montrait Mélanie prise en double pénétration par deux types bien montés pendant qu’un autre se servait de sa bouche comme d’une chatte. Mélanie n’avait aucune réaction, elle se faisait pistonner comme si elle avait fait ça toute sa vie. A la fin de la vidéo, les trois types éjaculèrent sur elle puis l’abandonnèrent au sol comme une poupée gonflable qu’on jette après usage.

Le type qui filmait s’approcha de Mélanie et souleva le bandeau qui masquait sa vue. Jérôme eut un haut le cœur: les yeux de Mélanie n’exprimaient plus aucune émotion, ils étaient vides, sans réaction.

Le reste de la journée se passa dans l’excitation mêlée d’angoisse. Dans quel état allait il retrouver Mel, si ces salauds la lui rendaient un jour….

C’est un peu avant minuit que quelqu’un sonna à la porte. Il reconnut à l’œilleton le type avec qui il avait eu contact. Jérôme ouvrit aussitôt.

Il se trouva face à trois mecs qui le regardaient d’un air rigolard et entre eux, à quatre pattes comme une chienne et tenue en laisse un collier autour du cou, Mélanie, toujours nue, un gagball dans la bouche.

Ils entrèrent dans l’appartement ainsi:

” On te rend ta salope. Elle est bien dressée comme la petite chienne qu’elle est maintenant. Et comme une bonne chienne on l’a tatouée. A propos, si elle est toujours à toi, rappelle toi de ta promesse, elle sera désormais aussi à nous deux week-end par mois et la moitié des vacances. On a son numéro, on la rappellera pour la suite.

Allez, bonne journée, à vendredi soir!”

Ils laissèrent Mélanie ainsi au milieu du vestibule, comme une chienne qu’on ramène après une fugue. Esenyurt Escort En la relevant, Jérôme vit le fameux tatouage, à gauche de son pubis: un code barre avec le mot “slave” en dessous.

– “Tu vas bien ma chérie?” lui demanda Jérôme en lui ôtant son gagball.

Le regard de Mélanie lui glaça le sang: “Oh que oui! Je me suis découverte, c’est ce dont j’ai toujours rêvé. Je t’aime mon amour, je veux continuer ma vie avec toi, mais je veux aussi vivre cette nouvelle vie qui s’offre à moi”

Jérôme était autant ravi que catastrophé. Il avait certes récupéré sa chérie doublée d’une super salope, mais elle ne lui appartenait plus entièrement maintenant.

Dés le lendemain matin, un SMS d’un de ses maîtres lui donna le ton: “voici mes instructions: à partir de maintenant, plus de vêtements qui descendent en dessous de mi cuisses, mini string et hauts décolletés obligatoires, soutif interdit, maquillage de pute, talons hauts. Je t’appelle vendredi en fin d’après midi.”

Mélanie, comme une automate, alla dans son placard pour vérifier ce qu’elle avait qui conviendrait à son nouveau dresscode: deux minijupes, deux mini-shorts, quelques chemisiers et débardeurs échancrés, des talons hauts, des strings, ça allait.

Pour le maquillage, elle n’avait eu qu’à forcer celui qu’elle portait d’habitude, surtout au niveau des yeux et le rouge à lèvres, d’un rouge pétard: “une vraie bouche à pipes” se dit elle en contemplant le résultat dans son miroir.

Elle sortit ensuite faire du shopping pour acheter dans différentes boutiques les tenues les plus salopes qu’elle pouvait trouver.

Ses maîtres n’avaient pas perdu de temps pour capitaliser sur leur esclave.

Les week-end furent consacrés à bien tester sa docilité :

– Ses maîtres lui ordonnèrent de sortir avec une jupe ras la moule et un débardeur bien échancré qui faisait ressortir ses gros nibards, aller dans un bar glauque et allumer les clients. Interdiction de rentrer tant qu’elle n’aurait pas vidé la boite de 50 préservatifs qu’ils lui confièrent.

Lâchée en début de soirée dans le quartier le plus pourri de la ville, Il n’avait pas fallu un quart d’heure pour qu’elle se retrouve dans les chiottes puantes d’un bar miteux en train de sucer un des clients puis, les mains appuyées face au mur, la micro jupe et le débardeur relevé, se faisant pilonner et insulter comme une trainée. Surpris par le barman, elle fut jetée dehors comme une pute de bas étage.

Mélanie ne se démonta pas et traversa la rue…. vers un autre bar tout aussi glauque. Pour son bonheur (?) c’était le repaire d’un groupe de motards. Rapidement “prise en main” par la dizaine de bikers présents, elle fut tringlée le reste de la nuit dans tous les coins du bar par tous les trous: sur un tabouret de bar par le chef et ses adjoints, sur le billard par toute la bande, sur la banquette d’une table par tous les motards à tour de rôle ou à plusieurs, ils l’abandonnèrent à six heures du matin allongée sur une table du bar, épuisée, la jupe tirebouchonnée sur la taille, le débardeur déchiré. Elle récupéra par terre et suspendit en rang d’oignon les préservatifs pleins de foutre à son string miraculeusement intact et prit le résultat en photo pour prouver la réussite de sa “mission”.

– Ses maîtres devant de l’argent à des dealers pour du shit à crédit, ils envoyèrent leur pute obéissante “négocier” un tarif…

Elle se présenta un vendredi en début de soirée dans le hall d’immeuble servant de QG aux dealers, habillée d’une robe moulante blanche, fendue sur le coté et largement décolletée, et des talons aiguille qui lui donnaient une démarche chaloupée particulièrement bandante.

“T’es qui toi?” demanda un des choufes en la détaillant sans vergogne avec avidité.

” Je viens de la part de B. , je viens à propos de leur petite dette envers A…..”

Le choufe siffla en direction des escaliers, un type apparut: c’était le fameux dealer.

” Tu veux quoi, petite pute?” dit il en la lorgnant de haut en bas.

” Je viens pour la dette de B. , je suis là pour la négocier.”

” Y a rien à négocier petite pute, c’est arrangé avec tes macs. T’es à moi pour le week-end. Montre tes nibards!”

Mélanie baissa immédiatement les bonnets de sa robe, laissant apparaitre ses seins.

Le dealer embraya: “tourne toi et montre ton cul”

Mélanie s’exécuta aussitôt et il put constater qu’elle avait “oublié” d’enfiler une culotte…

“Reste comme ça, sale pute” elle se retrouva avec le type plaqué contre ses fesses, et elle sentit qu’elle lui faisait de l’effet. Le dealer profita de sa position pour prendre à pleines mains et malaxer les seins de Mélanie.

Mélanie se trouva bientôt en train de sucer le dealer dans les escaliers, les seins à l’air pendant qu’il fumait un petit joint. Après l’avoir épongé, celui ci la conduisit dans une cave malodorante où elle allait “rembourser” sa dette….

Enfermée dans une cave pendant un weekend, elle fut l’objet sexuel de tous les mâles de la cité. Mélanie perdit vite le compte des bites qu’elle vidangeait par la bouche, la chatte ou le cul. Elle en ressortit enfin le lundi matin, le corps collant de foutre séché, rotant du sperme, la robe froissée et les talons aiguille à la main, mais la dette de ses maîtres était payée…

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