Maman, Juliette et Moi 03

Categories: Genel.

Oca 23, 2023 // By:analsex // No Comment

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Chapitre 3

Le lendemain, mardi, nous n’avions cours ni Juliette ni moi, car c’était jour de grève au lycée. Maman, elle, participait à une réunion stratégique ce matin-là et devait aller au bureau. Elle se leva donc à sept heures et vint nous sortir du sommeil comme pour une journée de semaine. Nous râlâmes en pure perte. Elle nous annonça qu’il en serait ainsi toujours les jours, tant que le travail scolaire ne serait pas à sa convenance.

Nous nous retrouvâmes illico autour de la table du petit déjeuner. Ma mère était magnifique, en véritable femme d’affaires, chic et hiératique. Juliette arborait son habituelle chemise d’homme mal fermée et j’arrivai en caleçon pendouillant et vieux tee-shirt.

— Vous verrez, commença maman, vous me remercierez quand vous serez devenus les meilleurs de vos classes.

Nous maugréâmes sans enthousiasme. Mais elle nous rappela à notre devoir. Comme chaque matin, précisa-t-elle, je devais verser mon lait dans le café de l’une ou l’autre. C’était au tour de Juliette.

Je retrouvai un début de sourire et de bandaison à cette idée et m’approchai de ma sœur. Elle semblait moins délurée que moi le matin, mais maman prit les devants et descendit mon caleçon.

— Fais vite, ma fille, je suis pressée ce matin.

Juliette entama l’ouvrage sans y mettre toute l’attention requise. Elle me branlait de sa main droite tout en continuant à grignoter sa tartine. Je me rendis compte à ce moment-là que son manque d’intérêt m’excitait peut-être plus encore que si elle s’était passionnée pour ma queue. Je n’en dis rien, car je ne savais pas très bien ce que cela voulait dire de moi et de mes envies. Maman regardait ce qui se passait d’un œil distrait tout en sirotant son café. Elle m’incita à venir vite et à bien juter dans l’arabica de ma sœur. Elle accrut encore mon excitation en relevant mon tee-shirt pour inspecter mon cul de sa main nue.

— Tu vois que tu as pleuré inutilement hier soir. On ne sent plus rien de la bonne fessée que tu méritais.

Juliette me décrocha enfin un sourire et daigna regarder ma queue tout en mettant un peu de tendresse dans ses mouvements.

— Ce matin, me prévint maman, je n’aurai pas le temps de vérifier tes devoirs. J’ai donc demandé à ta sœur de s’en occuper. Elle est l’aînée, je lui ai donné tous mes pouvoirs si elle pense nécessaire de t’infliger une nouvelle punition.

Je voulus protester, mais à ce moment précis, le travail de Juliette atteint son résultat et je jutais longuement dans sa tasse de café. Elle me vida complètement continuant même à me branler alors que je n’avais plus rien à donner. Cela me fit presque mal, puis elle eut l’idée de plonger mon gland dans sa boisson chaude.

– Comme ça, tu seras déjà nettoyé! précisa-t-elle.

Cela fit rire maman. Je me tus et tentai de me mettre au diapason de l’hilarité générale. Le café n’était pas brûlant et je ressentis plus d’excitation que de douleur à l’idée de voir maintenant ma sœur boire son arabica dans lequel j’avais trempé ma queue. Elle s’exécuta avec plaisir en confirmant à notre mère que le goût était délicieux. Félicité par ces deux vicieuses, je pus enfin m’asseoir à table et avaler sereinement mon petit déjeuner. Maman se leva, nous embrassa rapidement et quitta l’appartement.

Je n’osai pas regarder ma sœur. J’étais certain que nous devions parler de tout ça, mais je ne savais pas comment commencer. Ce fut elle qui prit la parole, mais pas sur le ton que j’avais espéré.

— Fais vite, me dit-elle, et va te laver avant de te mettre au travail. Tu as entendu ce que maman a dit. Dans deux heures, je viendrai voir où tu en es.

Je plaçai quelques « mais », commençai un « qu’est-ce que tu penses… », mais elle était déjà partie dans sa chambre et je l’entendis verrouiller sa porte. Je restai seul face aux miettes du repas, ramassai mugs et assiettes, emplis le lave-vaisselle et le lançai. J’étais un peu perdu, mais je devais bien convenir que la situation générale m’excitait beaucoup plus qu’elle ne me gênait. Étais-je vraiment un homme qui aimait obéir aux femmes? Était-ce un désir normal? Je me rassurais en pensant qu’après tout, cela restait en famille et que, entouré par ma sœur et ma mère, les choses ne pouvaient pas aller trop loin.

Fatigué par la branlette matinale, je pris une douche comme pour me ressourcer. Je m’habillai simplement d’un short et d’une chemise propre. Je ne pus m’empêcher de coller mon oreille à la porte de Juliette, mais je n’entendis rien. Je rentrai enfin dans ma chambre pour ouvrir mon cahier de textes et me désoler à la vue de tout ce que je devais abattre comme travail ce week-end. Maman avait raison, je manquais de sérieux. Par moment, ma situation m’angoissait. Que deviendrai-je après le bac? Réussirai-je même à décrocher ce fichu diplôme? Et puis, mon âge, ma jeunesse, ma vie se remettaient à pétiller dans mes veines et j’envoyais tout bouler pour rêvasser à qui mieux mieux. Ce matin-là, la malédiction frappa encore. Quand bursa escort je reposai les yeux sur mon réveil, je réalisai qu’il était déjà onze heures et que je n’avais pas commencé à rédiger la note de synthèse prévue sur l’évolution des pays de l’Est à la fin du vingtième siècle.

Je venais de saisir mon stylo quand j’entendis frapper à la porte. Juliette entra sans attendre mon accord et se planta au milieu de ma chambre. Elle portait une de ses merveilleuses jupettes rouges qu’elle réservait en général aux sorties nocturnes et un chemisier blanc qu’elle n’avait pas pris soin de boutonner. Je voyais parfaitement son soutien-gorge de la même couleur, ses pieds, ses jambes, ses cuisses nues. Elle avait les mains sur les hanches et réussis à me demander d’un ton très sérieux où j’en étais de mon travail scolaire.

— J’allais m’y mettre, eus-je le malheur de répondre.

Elle monta immédiatement sur ses grands chevaux et me rappela rapidement que maman lui avait ordonné de me surveiller. Que devait-elle faire, ajouta-t-elle, si je ne comprenais pas où était mon intérêt? Je protestai, expliquai que j’avais été distrait, que j’allais m’y atteler sérieusement, que j’avais entendu la leçon. Mais ma sœur s’assit sur mon lit et m’annonça qu’elle allait me punir à la manière de notre mère. Je ne parvins pas à la mettre de mon côté. Peut-être était-elle, elle aussi, sous le coup d’une éventuelle correction si elle ne réussissait pas à me maintenir dans le droit chemin? Toujours est-il que je quittai mon bureau et m’approchai de Juliette.

— Baisse ton short et ton caleçon et allonge-toi sur mes genoux. Je vais te donner une fessée de cinquante claques que tu vas compter.

C’était la même chose que la veille. Notre mère avait dû la renseigner. J’espérais toutefois que ma sœur n’avait pas sa poigne et que j’allais ressentir moins durement la punition. Ce fut le cas! J’appréciai plus rapidement qu’avec maman le bruit des claques et la chaleur qui montait dans mon cul. Peut-être que la main de Juliette était plus douce que celle d’une femme adulte? Peut-être m’habituais-je déjà à cette correction? Ma queue resta dure et collée aux cuisses de ma sœur pendant toute la punition. Je comptai chaque coup et retins mes larmes jusqu’au bout.

— J’en ai mal à la main, m’annonça Juliette après la quarantième claque.

Je l’entendis fourguiner sur mon bureau où elle trouva mon long triple décimètre de plexiglas qui me servait pour la géométrie. Voilà qui va m’économiser, précisa-t-elle. Les dix derniers coups furent donnés avec cet engin beaucoup plus cruel qu’une main de femme. Cette fois, je comptai en criant et je finis les larmes aux yeux. La règle frappait fort et claquait avec plus d’intensité à travers tout mon postérieur, à droite et à gauche simultanément sans aucun repos. C’était terrible. La fessée s’arrêta enfin. Juliette me prévint qu’à l’avenir, elle utiliserait toujours cet engin. En plus, ajouta-t-elle, cela te fait de belles fesses bien rouges et bien marquées. Elle passa quelques secondes à caresser rêveusement mon postérieur puis me demanda de me mettre debout et de la suivre à la salle de bain.

— Ça m’a trop excité de te punir, commença-t-elle. J’ai besoin de faire un truc cochon.

Elle me prit par la main et m’attira dans la baignoire. Là, elle me demanda d’ôter mon tee-shirt et de m’allonger nu. Ça va te plaire, j’en suis sûre, m’annonça-t-elle.

Je me retrouvai, le dos collé à l’émail froid de la vasque ; ma queue se dressait comme pour sauvegarder ma fierté. Juliette n’enleva que sa culotte avant de se placer debout au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mes fesses, à la verticale de mon sexe dressé. Là, elle me demanda de me taire — alors que je ne disais rien — et se concentra visiblement comme si elle allait déclamer une poésie. Elle ne fit même pas semblant de s’intéresser à mon avis et releva doucement sa jupe. Je dus gémir d’envie, car elle m’intima le silence à nouveau. J’avais les yeux braqués sur sa chatte dont je n’avais pas assez profité quand elle s’était assise sur moi la veille.

Je retrouvai sa toison brune, clairsemée qui ne cachait rien de sa fente. Ses lèvres étaient rouge foncé, presque mauves et je supposai que c’était ainsi que se traduisait l’excitation chez les filles. Je levai inconsciemment mon bassin comme pour rapprocher ma queue de ce sexe ouvert. Je voyais le trou sombre où j’aurais tant voulu me perdre. Juliette regardait le plafond et écartait ses grandes lèvres à deux mains. Au moment où je compris enfin ce qu’elle avait prévu, les premières gouttes d’urine coulèrent de son vagin. Puis, en moins d’un instant, ce fut un puissant jet de pisse chaude qui m’arrosa la queue, le ventre, les cuisses. J’en avais partout, son liquide rebondissait et s’insinuait entre mes fesses. Je riais et Juliette aussi. C’est merveilleux, lui dis-je. Elle s’arrêta d’un coup :

— C’est dur de tout bloquer, tu sais, mais je vais viser plus haut. Écarte tes lèvres.

J’obéis bursa escort bayan sans me poser de questions et la miction reprit. Juliette s’amusait à parcourir tout mon torse, puis elle se lâcha enfin sur mon visage. Je fermai les yeux, mais ouvris ma bouche qui ne tarda pas à se remplir.

— Avale tout, mon gros cochon!

J’hésitai un instant avant d’obéir. Le goût était fort, un peu âcre et je me mis à tousser. Mais Juliette en avait toujours dans la vessie et m’aspergea d’une nouvelle tournée. Elle s’approcha de ma bouche pour y placer ses dernières réserves. J’avalai et avalai encore tout en me branlant. Elle fit de même et, sa chatte dégoulinante de pisse, se frotta vigoureusement le bouton pour jouir en quelques instants. Je vins aussi rapidement qu’elle et éjaculai férocement.

— Lave-moi vite avec ta langue, ordonna ma sœur.

Je m’exécutai et léchai son sexe pour y recueillir toutes les gouttelettes d’urine qui pouvaient y rester. J’étais encore excité et trouvai tout délicieux. Puis nous nous calmâmes tous les deux et Juliette m’incita à me rincer rapidement sous la douche.

— N’oublie pas que tu as du travail à finir, précisa-t-elle en riant et me laissant là comme un imbécile tout nu et refroidi au milieu de la baignoire.

Je m’empressai d’obéir, me séchai, me rhabillai et rentrai dans ma chambre. Je me promis de réfléchir à tout ça plus tard. Pour le moment, les pays de l’Est m’attendaient.

Je déjeunai d’un sandwich à mon bureau et mon après-midi s’enchaîna studieusement. Je ne revis pas Juliette, mais repensai beaucoup à ce qui s’était passé. Au début, quand j’imaginai le goût de sa pisse, je me sentais saisi d’un réel écœurement. Puis, comme l’envie de sexe me reprenait le cerveau, je me rejouai la scène et la trouvai aussi cochonne qu’excitante. Je crois que j’aurais été capable d’aller frapper à la porte de ma sœur pour lui demander si elle n’avait pas une petite envie. Mais je me tins coi et terminai mon travail à temps pour le retour de maman.

Nous nous retrouvâmes enfin tous trois pour une soirée plateau télé devant une série américaine qui nous plaisait où des ultrariches se battaient pour gagner encore plus de pognon. Nous attaquions la saison 2, mais ce soir ne ressemblait pas aux séances précédentes. Il s’était passé tant de choses ces deux derniers jours.

Maman s’installa dans son fauteuil préféré. Elle avait gardé ses vêtements de femme d’affaires et me demanda de m’asseoir sur le sol à ses pieds. Cela m’était déjà arrivé — surtout plus jeune — et je me pelotonnai contre ses jambes. Juliette avait apporté tout un plateau de bonnes petites choses et s’était lovée sur l’autre fauteuil après avoir assuré un vague service.

— Je suis vanné, commença maman, tu voudrais bien me masser les pieds?

Sa voie était parfaitement neutre et naturelle comme si cette demande allait de soi alors que je ne l’avais bien sûr jamais fait, mais l’idée m’excita fort. Je m’installai du mieux que je pus à même le sol face à elle et posai les pieds de maman dans mon giron entre mes cuisses. Je sentais le cuir de ses semelles toucher mon sexe. Tourné comme je l’étais, je n’avais plus une chance de voir la série, mais je bandais déjà en déchaussant maman de ses escarpins chics. Ses pieds étaient nus, les ongles vernis de rouge et une légère odeur chaude de transpiration me chatouilla les narines. Je jetai un œil à Juliette qui semblait plus s’intéresser à mon massage qu’à la télé. Seule ma mère n’en avait que pour sa série.

Je pris son pied droit nu entre mes mains et commençai par le caresser des orteils à la cheville très doucement comme si je découvrais une sculpture particulièrement délicate et attirante. Je soulevai légèrement sa jambe pour être plus à mon aise. Elle se laissa faire. Quand elle s’était assise, sa jupe avait remonté sur ses cuisses. Je glissai un coup d’œil, mais ne vis rien de précis. Maman portait-elle une culotte? Peut-être, un mini-slip noir comme j’avais pu apercevoir parfois dans le panier à linge sale? Évidemment dans la position où j’étais, vêtu de mon habituel vieux caleçon, ma queue raide comme un bâton pointa le nez le long de ma cuisse et je m’aperçus que mon gland rouge et brillant sortait de mon short. Les filles firent mine de ne rien remarquer. Je commençai alors mon véritable massage en passant lentement et profondément mes doigts sur la plante des pieds de maman. J’allai dans un sens puis dans l’autre, remontai jusqu’au tendon d’Achille puis redescendis aux orteils. Elle poussa un gémissement de plaisir tout en gardant les yeux fixés sur la télé. J’étais heureux de lui donner cette joie et je m’abîmai dans ma tâche. Juliette ne s’intéressait plus à ce que je faisais et s’était aussi remise à la série. Au moins, pensai-je, ces deux-là pourraient-elles me raconter l’histoire.

Quand j’eus bien massé le pied droit de maman, je le reposai sur le sol entre mes cuisses et me saisis de l’autre pied. Comme par inadvertance, elle déplaça escort bursa légèrement la jambe que je venais de laisser et la plante de son pied couvrit mon sexe qui sortait du short. Je poussai à mon tour un gémissement de plaisir et me mis à masser scrupuleusement l’autre pied de maman. Mais à chaque mouvement que j’imprimai à mes mains, à chaque caresse, elle aussi bougeait légèrement le pied posé sur ma queue jusqu’à entamer une véritable branlette.

— Baisse le son, dis ma sœur, on n’entend plus rien.

Je m’aperçus alors que je gémissais de plaisir de plus en plus fort et je m’évertuai à me taire. Maman faisait toujours comme si de rien n’était. Je massais son pied intensément et finit même par l’approcher de mes lèvres. J’hésitai un court instant puis sortis la langue et me mis à lécher sa plante de pied. C’était délicieux. Le très léger goût de sueur m’excitait. Elle ne réagit pas et je m’enhardis, passant autour de chaque orteil, puis les suçant l’un après l’autre. Elle gémit à son tour et Juliette intervint de nouveau pour signaler que nous étions dégoûtants. Jalouse, répondit maman tout en accentuant son mouvement de pied sur ma queue qui n’en pouvait plus.

— Regarde plutôt ton frère, il lèche mon gros orteil comme si c’était une vraie petite bite. Tu n’as pas un ami à lui présenter?

Je rougis, mais continuai à sucer amoureusement. D’autant que je sentais que j’allais venir sous le pied de ma mère. Juliette semblait avoir bien du mal à choisir entre les deux spectacles qui s’offraient à elle. Je me mis enfin à crier tout en éjaculant abondamment sur le pied de maman.

— C’est bien, mon garçon, j’adore te regarder jouir. Nettoie-moi avec ta langue, tu m’as bien salie.

Je m’exécutai aussitôt et changeai de pied pour lécher toutes les traces de sperme que j’avais pu laisser sur sa plante du pied, ses orteils et sa cheville.

— J’ai bien vu que tu essayais de regarder sous ma jupe. Tu es un sacré coquin. Mais tu m’as excitée et je voudrais être sûre que tu es maintenant capable de me faire jouir comme tu l’as fait à ta sœur.

Maman remonta sa jupe sur ses hanches, se plaça au bord de son fauteuil et écarta ses cuisses nues. Je vis enfin sa toison brune épaisse, beaucoup plus drue que celle de Juliette. Son sexe était déjà largement ouvert et ses grandes lèvres grasses arboraient une teinte sanguine presque violette. Je sentais que le spectacle aurait pu me dégoûter, mais pour l’heure, il n’en était rien. Je m’approchai doucement aussi fasciné que Mowgli par le regard du serpent. Juliette avait mis la télé en pause et s’intéressait de près à la scène. Elle avait la main sous la jupe et devait encore une fois se branler discrètement.

— Viens, mon fils, lèche ta mère. N’aie pas peur!

Je me jetai enfin sur la vulve offerte comme on se plonge d’un coup dans l’eau froide et parcourus grossièrement tout ce qui s’étalait sous mes lèvres avides. Odeur et goût étaient très différents du sexe de ma sœur, plus forts bien sûr, mais aussi plus sauvages, plus animaux. J’aimais ça, je me perdais, j’avais le sentiment de me salir et cela me plaisait. Maman gémissait doucement. Elle avait posé ses mains sur mon crâne et me guidait délicieusement à travers sa jungle. J’enfonçai ma langue dans son vagin ouvert et elle poussa un léger cri de surprise ou de joie.

— Tu n’es qu’un gros cochon, mais tu me donnes du plaisir.

Je remarquai qu’elle avait utilisé les mêmes mots que Juliette et j’appréciai cela. Je me sentais comme un porc attiré par sa pâté et je léchai plus fort encore l’entrecuisse de ma mère de son clitoris jusqu’à son cul. J’hésitai moins qu’un instant puis goûtai aussi ce trou-là, petit, sombre avec sa peau plissée. J’entendis maman pousser un cri d’extase et insistai enfonçant autant que je le pouvais ma langue dans son anus.

Elle semblait avoir perdu toute retenue et demanda à Juliette de lui coller son sexe sur la bouche. Ma sœur n’hésita pas. Elle se plaça à cheval sur les accoudoirs de fauteuil de maman, jupe relevée. Je ne voyais pas ce qui se passait au-dessus de moi, mais un fort bruit de mouillé, de léchouille, de succion me fit deviner combien maman s’empressait sur le con de ma sœur. Les deux femmes gémissaient, mais je distinguais parfaitement leurs deux chants d’amour. Tout à coup, ma mère appuya plus fort encore sur ma tête, me colla la bouche à son vagin et jouit longuement en criant son plaisir. Elle juta quelques gouttes d’urine elle aussi — était-ce là un réflexe génétique? — que j’avalai et se frotta encore contre mes lèvres. Puis ses mains me relâchèrent pour se poser sur le cul nu de Juliette et mieux se concentrer sur le plaisir qu’elle lui donnait.

Je m’éloignai un peu pour profiter de la scène. J’avais le visage plein des sécrétions de ma mère et j’en étais fier. Face à moi, maman suçait Juliette avec avidité et lui écartait les fesses pour poser son index contre son petit trou. Quelque chose la retenait d’aller plus loin et ce fut moi qui lui demandai d’entrer. Elle poussa très lentement. Je vis l’anus sombre de ma sœur s’ouvrir doucement pour absorber d’un coup deux phalanges du doigt de maman. Au même moment, elle se cambra pour mieux coller son con à la bouche de sa mère et jouit bruyamment.

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