Les malheurs de Clotilde Ch. 19
Ağu 21, 2024 // By:analsex // No Comment
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Cette histoire est basée sur la déchéance d’une femme. C’est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n’aimez pas le genre, vous n’aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l’aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c’est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c’est mon meilleur texte écrit jusque à présent.
Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j’ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l’écrit, je l’ai appris à l’école, en Italie, ce qui explique que j’ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d’orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d’accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m’excuser pour ce souci, que j’améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.
Pour finir je ne fais aucunement l’apologie de la violence, ni d’ailleurs l’apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j’approuve et soutien complètement. Ce n’est même pas le résultat d’un fantasme, juste une histoire que j’ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l’Ouest. D’ailleurs, l’afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d’Europe accueillant des réfugiées, n’est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons-nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n’en parle pas, alors tout le monde s’en moque… Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.
Assurez-vous donc d’aimer ce type d’histoire, d’avoir le cœur bien accrocher. C’est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n’y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.
Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcés, mettant en valeur un petit cul bombé, en forme de cœur, aux fesses fermes.
Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d’enfer. Ninon à presque le même corps que Clotilde.
Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermeté de sa jeunesse.
Géraldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C’est une belle infirmière qui s’occupe de Clotilde à l’hôpital.
Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C’est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.
Jérôme : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.
L’américain : Chirurgien travaillant pour une mystérieuse organisation. C’est lui qui s’occupe de Clotilde pour la remettre en état.
Pierre : Frère de Clotilde, qui l’a agressée sexuellement quand Greg la lui a offert.
Jeff : Mari de Clotilde et père d’Emma. Il viole et dépucelle sa fille.
Boris : Directeur d’un hôtel de passe, appartenant à la mystérieuse organisation.
Ninon :
La nouvelle chambre dans laquelle ils emmènent Ninon est grande. Au milieu un grand lit King-Size, sur la droite une salle-d’eau. Juste en face le lit, une table et quatre chaises. C’est tout. Elle va le découvrir rapidement, mais Ninon va passer la majorité du temps couchée, à se faire violer. De temps en temps elle sera courbée sur la table pour se faire prendre ou baiser assise sur un homme lui-même assit sur une chaise. Le gros homme lui désigne la salle-d’eau.
– Allez-vous laver. Vous avez quinze minutes en tout pour le corps et les cheveux. Si vous dépassez ce temps, on arrive et on vous encule à tour de rôle, si vous ne le dépassez pas, on passe à la suite sans vous toucher dans l’immédiat.
Inutile de vous dire que Ninon n’a mis que treize minutes pour se laver et être de retour dans la chambre.
– Bien, vous savez ce qui est bon pour vous. Cette chambre sera votre lieu de vie pendant les deux prochaines Bostancı travesti semaines. Quand vous la quitterez, vous serez une bonne putain. Vous demanderez à vous faire prendre par l’homme qui vous a choisis, même si vous détestez cela. Vous sourirez et simulerez à chaque copulation, sauf ordres contraires. Vous serrerez également vos orifices, vous vous servirez des muscles de votre chatte ou de votre trou-du-cul. Le tout pour donner le maximum de plaisir à l’homme qui vous prends.
Ninon se jure que jamais elle ne fera cela. Pourtant, en moins d’une semaine, elle suppliera pour qu’on la baise afin d’éviter toutes les punitions qui lui ont déjà faits vivre.
– Mais en attendant, suivez-nous, on va un peu améliorer votre apparence.
Ninon ne proteste pas, au moins pendant ce temps, on ne la viole pas. Ils descendent plusieurs étages, par des escaliers, prouvant l’immensité du lieu. Ils descendent au sous-sol, dans une pièce où se trouve une chaise de gynéco en son milieu. Un des hommes l’attache ensuite dessus. Tandis qu’un de plus entre dans la pièce.
Là, on la tatouera à l’extérieur des chevilles, puis entre son nombril et son sexe. Toujours le même dessin, deux « I » majuscule de part et d’autre d’un éclair jaune. Ensuite, langue, tétons et clitoris seront piercé. Elle gueulera comme une folle, car tout sera fait à vif. Pour finir, pendant plusieurs heures, elle sera le jouet des cinq hommes, qui prendront ses orifices, l’un après l’autre ou plusieurs à la fois. La faisant gueuler jusque à la fin de la nuit.
Emma :
Hélas pour elle, son père à éjaculer deux fois dans son ventre. La prenant pendant plus d’une trentaine de minutes. Quand il se retire, il attrape le tuyau de la douche, puis enlève le pommeau.
– Mets-toi à quatre pattes, je vais nettoyer tes intérieurs.
Emma, habitué à ce jeu sadique, prend immédiatement la position demandée tandis que son père règle la température de l’eau. Une fois qu’elle est tiède, il enfonce le tuyau de douche dans le sexe de Emma. Si elle n’aime pas particulièrement cela, Emma se dit que c’est moins douloureux et humiliant qu’une bite. Une fois que l’eau qui sort de son sexe est clair, Jeff retire le tuyau et l’enfonce dans l’anus de sa fille. Lui prodiguant un lavement. Emma gémit, mais elle sait qu’au moins, quand elle sucera son père après une sodomie, il y aura moins de goût dessus.
Une fois tout cela terminé, Jeff se fait sucer par sa propre fille. Éjaculant, à la fin, sur le beau visage de la blonde.
– Lave toi et viens te coucher ensuite. Ne me réveille pas, je te laisse tranquille. Par contre demain, à sept heures précise, je veux ta bouche sur ma bite. Pour une pipe et ma pisse.
– Bien père. Merci père.
Jeff la regarde un peu surpris.
– Merci? Pourquoi?
– Pour m’avoir laver, et pour ne pas me prendre ce soir.
Son père sourit en sortant, cette putain ne sait pas que c’est le calme avant la tempête. Et quelle tempête!
Moi :
J’ai hurlée quand le docteur que l’on surnomme l’américain m’a violée. Moins pour Jérôme et plus du tout pour Meyer. Pas que je n’ai plus mal, mais parce que je suis trop épuisée, puis ma gorge en feu me l’interdit. Je les aurais presque remerciée quand ensuite, ils m’ont faits sucer leurs bites. Avaler leurs semences dégueulasse m’a même fait un peu de bien à la gorge. Moins quand ils y sont allés avec leurs pénis. Mais cette souffrance a été dérisoire comparée à ce que j’ai ressentis dans mon vagin. Puis la phrase est tombée, m’horrifiant tellement, que je n’ai pas pu répondre :
– Allez la putain, en route pour le dernier trou!
Ce n’est pas possible, je ne pourrais pas supporter un autre viol de ce genre…
– Pitié…
– Allez, je t’ai dit que tu aurais tes trois trous violés. Cela laisse donc encore ton petit cul à prendre.
Je ne me rappelles pas qu’il est dit cela. La pensée même que Greg et les autres enfoncent leurs énormes bites dans mon trou le plus serré, suffit même à éclipser la terrible douleur que je ressens encore dans mon vagin, sans parler de l’humiliation qui m’habite. Je ne peux imaginer la douleur que je ressentirais en subissant ça. Je gémis :
– Non… tu ne peux pas… ça n’entrera jamais…
Puis je m’avilis plus que je ne l’ai jamais fait :
– Je vais… vous offrir… un… autre de… mes trous…
Je réfléchis à comment me vendre :
– Je… ferais… de bonne pipe… avec ma… bouche… de chienne… Je vous… baiserais… avec ma petite… chatte… de salope…
– Comme c’est gentil de ta part. Montrer la putain que tu es. Mais on veut ton troisième trou, on l’auras… mais ne t’en fais pas, je vais le rendre adapté à des bites très rapidement!
j’halète, à bout de souffle, tout en jetant un regard effrayé à mon bourreau. Toutes mes tentatives pour conserver ma dignité ont disparu. Je ne suis plus qu’une femelle terrifiée, effrayée par ce que les prochains instants me réservent. Je suis à genoux sur Bostancı travestileri le sol, du sperme frais sur mon visage. Plus poussée par un instinct que par un choix conscient, je fais une faible tentative de ramper. Mais d’un seul pas, Greg est au-dessus de moi. Attrapant mes hanches, le monstre me traîne au milieu de la chambre, sur mes mains et mes genoux. Puis ses mains quittent mes hanches, pour aller sur mes fesses, écartant mes globes fermes. Puis je sens son gland entre mes fesses, le bout de sa bite poussant immédiatement contre mon sphincter de nouveau hermétique. M’envoyant déjà une secousse de douleur à travers tout mon corps.
– Noooon!!!… ne pas… tu vas… me déchirer!!!
Ma voix est devenue stridente, emplit d’une peur primale. Ce n’est pas possible, cela fait encore rire ce monstre de Greg, puis il me dit :
– Une athée comme toi? Tu ne fais donc pas confiance à la science et à la médecine? Oui je vais te déchirer, mais grâce au talent de l’américain, tu survivras. Les autres pourront alors enculer plus facilement un trou aussi serré que celui que je vais pénétrer!
Ce n’est pas possible, il n’a donc aucune pitié?
– Pour… pourquoi?
– Tu es une chienne, ma chienne. Et tu ne t’es pas comportée en chienne en me voyant!
Je sais bien que le fait de ne pas avoir aboyée en le voyant n’est qu’une excuse. Mais je suis trop occupée à espérer sauver mon anus pour m’attarder là-dessus.
Désespérée, je lève mes yeux vers les autres, m’attardant sur Géraldine, espérant une sorte d’aide ou d’intervention. La belle infirmière pleure en voyant ce que je vie, elle a trop peur, pour ne serait-ce que bouger. Quant aux trois autres, un seul coup d’œil me dit que je ne peux espérer aucune aide de leurs part. Tout ce que je vois dans leurs yeux est un mélange d’amusement impitoyable et d’une énorme quantité de luxure. Je pense avec haine, que sans aucun doute, chacun d’eux aurait aimé être à la place de Greg en ce moment.
Pendant quinze minutes, je supplie et supplie. Puis toute pensée s’est arrêtée. Ouvrant grand ma bouche, pendant de longues secondes rien ne sort. Puis un hurlement suffisamment puissant pour percer la plupart des oreilles, sort du plus profond de mon être. Mon anus est étiré, ouvert, au-delà de tout ce que j’ai pensé possible. La douleur est plus que crédible, irradiant dans tout mon corps avec mon trou-du-cul comme épicentre. Le premier viol de ma chatte quelques instants plus tôt, ne m’a pas faits autant mal. Même mon premier dépucelage anal n’a pas fait autant mal. C’est encore une toute nouvelle dimension de la douleur que j’expérimente, la pire de toutes. Greg quant à lui, ne montre aucune pitié.
Tenant ma taille étroite et mince dans ses mains puissantes, il m’a pénétré millimètres par millimètres. Chaque avancée me faisant hurler encore plus fort. J’ai crus que cette pénétration affreuse à durée des heures et des heures, mais il ne lui a fallu que quinze minutes pour entrer suffisamment de sa bite en moi, suffisamment à son goût. Il a ensuite commencé à baiser grossièrement mon cul, me violant, m’enculant à un rythme sauvage, violent, impitoyable.
– Aieeeeeeeeee! Noooooooooooon! Aaaaaaaaaaaaa!
Déjà, à ce stade, j’étais bien au-delà de me soucier de ma dignité, de ma promesse de ne pas le supplier. À chaque poussée, une autre explosion de douleur, encore pire que la précédente, enveloppe mon corps fragile. Chaque fois un autre cri déchirant, douloureux et tourmenté sort de ma gorge qui me torture.
– Merde, elle n’a même pas gueulée comme cela quand on lui a fisté le cul la première fois!
Je ne sais pas lequel des spectateurs à commenté, mais à ce stade je ne me soucie pas de le savoir.
À chaque fois, à chaque coup de reins, Greg enfonce plus loin sa bite dans mon trou-du-cul plus que douloureux, l’étirant bien au-delà du seuil de la douleur, de ses limites. Je sais que seul l’opération que m’a fait subir l’américain l’empêche d’être ruiné, déchire à jamais par la brutalité et la puissance de cet assaut.
– Pitiéeeeeeeeeeee!!!
Je supplie, je ne pense qu’à une chose : que ce viol anal se termine le plus vite possible. Même si Greg me viole encore plus fort, je sens qu’il va durer encore longtemps.
Le temps s’arrête pour moi, je suis maintenant piégée dans un vide intemporel d’agonies, de tortures anal, de souffrances affreuses. Je suis maintenant incapable de remarquer autre chose que la douleur brûlante, incandescente qui ravage mon corps fragile. Puis je sens le ventre de Greg frapper contre mes fesses fermes, ses couilles cogner contre ma vulve. Il vient d’entrer complètement, de plonger sa bite aussi loin dans mon cul qu’il le peut. Là, mon agonie, ma souffrance est multipliée mille fois. Même quand il se retire pour se préparer à une autre poussée destructrice, je ne remarque même pas que ma douleur diminue légèrement.
La seule chose que je remarque c’est quand mon bourreau lâche ma taille… mais avant même que je ne puisse Travesti bostancı penser à essayer de ramper à nouveau pour le fuir, de ses deux mains, Meyer presse ma tête et ma poitrine vers le sol. Aidant son ami à me défoncer. De ses deux mains poser sur mon crâne, il m’épingle au sol. Mais il garde mon cul encore haut dans les airs. De nouveau les mains de Greg reviennent sur mes hanches. Dans cette position, il peut pénétrer mon trou-du-cul encore plus profondément… il le fait… Passant de coups de reins rugueux et courts, à des coups de reins longs et lents. Comme ce monstre l’a prévu, cela n’a pas diminué ma douleur, mais l’a augmenté de nouveau de plusieurs crans.
Greg laisse échapper des grognements profonds et heureux, s’amusant alors que je continue à hurler, à crier, à supplier, à pleurer. Me faisant augmenter mes hurlements, malgré ma gorge en feu, de plusieurs décibels, à chaque fois que sa bite massive plonge profondément, plus loin qu’il n’est censé l’être.
– Continue à hurler sale chienne, c’est comme le nectar le plus doux pour moi.
Greg vient de me lancer cela, de sa voix chargée de pur plaisir sadique.
Il est endurant le salaud, je hurle et je hurle, jusque à ce que ma voix soit rauque, à la grande satisfaction de mon violeur. L’endurance contre nature, donnée par les pilules sexe-dure, a fait que mon tourment à durer et durer. Il a juste continué à me baiser pendant une éternité, savourant mon fourreau étroit. Quand il est finalement venu, au bout d’un temps plus long que l’éternité pour moi, trois quart-d’heures en vrai, au début, je n’ai pas pu y croire. Ce n’est que quand son sperme plus brûlant qu’un acide puissant, m’a éclaboussée l’intérieur, m’a faîtes hurlée de douleur, que j’ai compris que c’était fini. Enfin. Quand il s’est retiré, je me suis évanouis…
Ce n’est que lorsque l’américain est entré à son tour dans mon anus, que je me suis réveillée. Après lui, j’ai eus droit à Jérôme, puis Meyer. Puis Greg m’a de nouveau monté, m’enculant encore une fois. Mais depuis Jérôme, je ne hurle plus, je n’en ai plus la force. Je me contente de grogner. Je l’ai faits alors que chacun d’eux prends un deuxième tour dans mon trou-du-cul massacré. Puis quand enfin, ils me laissent tranquille, je m’évanouis plus que je m’endors.
Emma :
Comme elle le doit, elle se réveille vers six heures trente. Sagement, elle attend sept heures, regardant l’heure sur le portable de son père. La jeune majeure n’a plus le sien, il le lui a confisqué. À six heures cinquante-huit, elle s’agenouille près de son géniteur, sa tête au-dessus du sexe de son paternel. À sept heures elle avale le sexe mou, le caressant de sa langue, aussitôt qu’il est plongé dans sa cavité buccale.
Jeff se réveille aussitôt.
– Pile à l’heure, c’est bien. Mais arrête de sucer, bouche hermétique en dessous de mon gland.
Pas la peine qu’il s’explique, elle sait ce qui l’attends. Emma fait ce que son père incestueux lui dit. Quand il urine, elle avale tout le liquide tiède et âcre. Se disant que le pipi du matin, est au goût, le pire de tous. Elle s’acquitte de sa tâche sans un bruit, autre que ses déglutitions. Ne lâchant pas le regard de son père de ses yeux. Quand il a fini, elle reprend alors sa fellation, lui faisant une gorge profonde comme il aime. Quand il jouit dans sa bouche, sur sa langue, elle avale tout. Elle se redresse alors, une bite propre sortant de sa bouche.
– Merci père de m’avoir donné votre urine puis votre sperme. Merci d’avoir laissé une salope comme moi sucer votre merveilleux pénis.
– De rien petite pute.
– Vous voulez autre chose de moi? Ma chatte ou mon cul?
– Non, va à la douche, puis mets une robe courte, sans dessous, on a de la route pour rentrer à la maison. Je t’expliquerais sur le chemin ce que j’attends de toi.
– D’accord père. Votre putain vous remercie encore une fois.
Emma se lève et se dirige vers la douche. En regardant son adorable cul se mouvoir vers la salle-d’eau, Jeff se lève. Se disant que finalement, il a bien le temps pour une bonne sodomie. Au grand désespoir de la jeune femme, elle l’entend crier :
– Emma, j’ai changé d’avis, je vais t’enculer!
Ninon :
Une semaine qu’elle est là. Elle a été fouettée au sang, ils ont joués avec des clopes, lui ont montrés l’efficacité de ses piercings. Si bien que quand la porte de la chambre s’ouvre, que Boris entre, Ninon se lève d’un bond. Elle se met à genoux devant lui.
– Bonjour maître, un souhait?
– Une pipe.
– Bien maître. Merci de me laisser vous sucer.
Il s’approche, se met devant-elle. Aussitôt les mains de Ninon vole vers le pantalon, le déboutonne, descendent le zip, puis le pantalon. Elle descend le caleçon. Un sexe endormi apparaît, fixant ses yeux dans ceux de Boris, elle demande :
– Envie d’uriner avant de vous faire sucer?
– Gourmande, je vais te faire ce plaisir.
– Merci maître.
Elle a dit cela sans le quitter du regard, en souriant. Seul ses yeux racontent l’enfer qu’elle vit. Ninon referme ses lèvres sur le pieu mou. Elle avale tout quand il urine, puis, dès qu’il a fini, commence à le sucer. En plus du dégoût qu’elle éprouve, mais qu’elle cache, un seul sentiment occupe son cerveau, se venger de sa sœur pour la punir de ce qu’elle est forcée à vivre.
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