En Thérapie Ch. 03 et Fin

Categories: Genel.

Nis 1, 2023 // By:analsex // No Comment

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– Bonjour Papa, je te présente ma fiancée et Maîtresse Katia

J’ouvre la porte sur mon fils qui est venu dîner, espérant me changer les idées, et je reçois ce coup de massue sur la tête. J’ouvre la bouche comme un poisson privé d’oxygène, je titube, remarquant à peine avec quelle gêne Rodolphe mon fils m’a présenté Katia. Je ne vois qu’elle et je n’arrive pas à connecter les univers, à réaliser ce qui se passe. Tout ceci dépasse mon entendement. Je bégaie

– Bonjour Madame

Elle me répond par un sourire entendu, Rodolphe étant surpris de mon ton et de l’emploi de Madame. Je n’ai pas même réfléchi, le corps me fait mal. Je réalise alors tout ce que cela implique, j’ai le vertige. Personne ne parle, seule Katia semble très à l’aise, détendue et s’amusant comme une folle. Rodolphe me tend une vieille bouteille de rhum et je nous sers à tous les deux un verre bien rempli, tandis que Katia décline et demande un verre d’eau.

Je m’échappe à la cuisine prendre l’air, m’asperger le visage et prendre quelques grandes respirations. Cette histoire est invraisemblable, je comprends que Katia m’a manipulé depuis le premier jour, qu’elle ne m’a pas choisi par une quelconque recommandation, mais pour connaître et piéger le père de son esclave. Je comprends aussi que mon Rodolphe chéri est cet être qu’elle a complètement dévoyé, détruit et réduit à la servir et à vivre sous sa perversion. Et que j’ai baiser avec la future femme de mon fils. Et que je n’ai rien vu de l’évolution de Rodolphe, tu parles d’un père et d’un psy! C’est trop, beaucoup trop pour moi. Je bois en douce de grandes gorgées de Porto, il faut que je lâche prise sinon je ne sais pas quoi. Je suis incapable de réfléchir. Je ne peux de toute façon rien faire, c’est cela qui est terrible, mon arbre de décision est un tronc et il me faut subir encore et toujours ce qu’elle veut. Je ne vois guère ce qui pourrait être pire.

Dans le salon, Katia est confortablement enfoncée dans un fauteuil, tandis que Rodolphe est assis au bord du canapé. Je sers son verre d’eau, le silence est pesant. J’ai juste envie d’aller me coucher, dormir et ne jamais me réveiller.

– Comment vas-tu Roldolphe, cela faisait longtemps que je ne t’avais vu

– Mieux que jamais Papa (mais il ne me regarde pas dans les yeux, je le sens terriblement fébrile. Pas seulement de me présenter sa fiancée). Je voulais te présenter Katia.

– Enchantée, Rodolphe m’a beaucoup parlé de vous (Katia me fait un grand sourire)

– Cela fait combien de temps que vous êtes ensemble?

– Deux ans, je voulais t’en parler mais nous avons pensé qu’il fallait attendre d’être certains.

– Vous avez voulu attendre?

– Katia a voulu attendre que nous soyons engagés (sa gêne est manifeste, on ne peut pas passer toute la soirée ainsi)

– C’est ce que tu m’as annoncé donc, vous êtes fiancés? Toutes mes félicitations.

– Merci Papa (Katia sourit toujours autant. Elle est sagement habillée aujourd’hui. Une longue jupe noire serrée avec un haut blanc en satin qui la moule et fait ressortir sa poitrine de façon si provocante sans être du tout vulgaire. Elle fait plutôt top mannequin. Sur son haut est écrit too big to hide, bien vu!))

– Mais tu lui as dit autre chose quand nous sommes arrivées n’est-ce pas ma petite chienne? (Je ferme les yeux, je n’ai pas eu longtemps à attendre, Katia à allumer la mèche, tout va exploser. L’avantage avec elle c’est que cela va toujours très vite, impossible de songer à contrôler quoi que ce soit)

– Oui Papa, Katia est aussi ma Maîtresse.

– Très bien Rodolphe, je comprends (Il lève un regard étonné sur moi)

– Euh d’accord. Mais Katia veut que je te dise ce que cela signifie entre nous. Un peu comme un coming out.

– Et toi tu as envie de me le dire mon fils? (je voudrais tant lui éviter l’humiliation à venir, mais je sais que c’est en vain, depuis que j’ai ouvert la porte je sais que tout va voler en éclat)

– Papa, si Katia est ma Maîtresse, c’est que tout ce qu’elle veut, je le veux, donc oui je le veux. Je suis son esclave personnel, sexuel et domestique, je dois lui obéir en tout et pour tout, je n’ai le droit de ne rien faire sans son autorisation. Je suis enfermé dans une cage de chasteté et je n’ai plus jouis depuis plusieurs mois. Je l’aime à la folie, c’est ma Déesse et je suis prêt à tout pour elle. Je suis tatoué et marqué à vie de ma condition à ses pieds, et je suis fier et heureux de ramper et d’obéir à tous ses ordres, même les plus humiliants et pervers.

– Eh bien mon fils! (je ne suis évidemment pas du tout surpris mais lui l’est de ma réaction). Est-ce que tu es heureux ainsi?

– Oui Papa, très heureux. (et c’est vrai qu’il a l’air plus serein que jamais, je dois l’avouer)

– Bien petite femelle, mets toi à ta place maintenant.

Rodolphe se lève et se déshabille. Je retrouve sans surprise toutes les marques que Katia m’a déjà montrées en photos, la cage aussi. Je remarque une chaîne à sa taille et entre ses fesses un gode métallique qui semble jaillir, obscène et déplacé. Rodolphe se met à genoux aux pieds de Katia, Escort Beylikdüzü tel la chienne qu’il est, la tête baissée. J’avale mon verre d’un coup et me ressers. L’image est puissante et j’en oublie qu’il s’agit de mon fils. Elle est là, chez moi, me regarde intensément, elle ne sourit plus, elle m’étudie, me scrute, me sonde. Son regard prend possession de moi. L’alcool m’a détendu et je bande. Rien que de susciter l’intérêt de cette femme m’excite et me rempli de joie.

Katia se lève de son fauteuil, permet à Rodolphe de lever le regard, mais lui interdit le moindre geste. Il la regarde les yeux brillants. Je le sens en extase. Lui aussi a oublié où il est. Elle passe derrière le canapé et vient me caresser doucement les épaules. Rodolphe écarquille les yeux, il pense que c’est la première fois que nous nous voyons et personne ne songe à lui expliquer la vérité. Mon souffle devient court, je n’ose bouger. Ses mains descendent sur mon torse, douces et caressantes, sa bouche tendrement se pose sur mon cou, la sensation est divine. Elle ouvre ma chemise pour me caresser le torse, descendant de plus en plus, pressant sa poitrine contre moi. Ses ongles pincent doucement mes tétons, c’est doux avant que cela ne devienne douloureux, une douleur électrique qui enflamme mon sexe. Elle me pince, me caresse, me pince encore.

Elle vient alors s’asseoir sur mes genoux, m’embrassant follement, d’un baiser tendre, torride, possessif à n’en pas douter. Les dents cherchent ma langue, elle veut me faire réagir. Elle se recule, ses dents s’attaquent maintenant à mes tétons, c’est intenable mais je ne bouge pas, je m’offre, je la sens sourire, je la sens triompher. J’appuie sur sa tête pour qu’elle continue à prendre ainsi possession, qu’elle sache que je m’offre malgré la souffrance terrible, souffrance qui me manque dès qu’elle cesse de me mordre. J’ai envie qu’elle ait deux bouches pour m’arracher les deux tétons. J’ai oublié mon fils. Elle se recule, sors mon sexe comme un diable de sa boîte, sous les yeux de Rodolphe qui ne comprend pas ce qui se passe. Elle enlève sa longue jupe noire qui ne lui permet aucune des folies dont elle a l’habitude, et c’est les fesses nues qu’elle vient s’empaler sur moi, regardant Rodolphe de façon provocante par-dessus son épaule. Il peut entendre qu’elle m’interdit de jouir. C’est un supplice bien pire que ses dents sur mes tétons qui saignent un peu. Je lui caresse et malaxe ses seins sous son haut serré, je sais qu’elle aime qu’ils soient un peu maltraités, je m’en donne à cœur joie. Je pince ses tétons et je la sens partir dans un orgasme dévastateur. Il me faut une volonté d’enfer pour détourner mes pensées et ne pas jouir à mon tour. Je crains trop ses réactions.

Rodolphe a baissé les yeux tandis qu’elle se repose sur moi. Son souffle est apaisé, je suis au paradis, je la sers dans mes bras. Je la caresse, j’ai envie toujours d’elle, mon sexe est toujours aussi dur au fond de son sexe. Sa bouche est collée contre mon oreille, elle me susurre :

– Tu bandes pour ta Maîtresse, n’est ce pas? Tu as envie d’être ma petite chose, mon petit soumis toi aussi? Être ma femelle bien obéissante et docile? Je sais que tu en as toujours eu l’envie, tu as besoin d’une Déesse pour te guider et contrôler ton plaisir. Tu as envie de m’appartenir?

– Oh mon Dieu, je ne rêve que de cela Madame (c’est vrai, je ne rêve que de cela, je ne regrette absolument rien, je recommencerais pareil à chaque étape)

– Mmmhhh tu es une femelle adorable, tu sais ce que cela signifie? Oui bien sur que tu sois ce que cela signifie d’être ma chienne et mon esclave n’est-ce-pas?

– Oh oui Maîtresse, tout ce que vous voulez. (je pourrais jouir sans bouger tant je suis dans un état de tension et de désir que je n’ai jamais imaginé possible)

– Nala, c’est ma petite femelle qui nous regarde, ne savait pas dans quoi elle s’engageait, mais toi oui pleinement. Tu sais que je vais te prendre au creux de ma main et te réduire en une femelle dépendante, obéissante, sans aucun libre arbitre. Qui viendra quémander de me boire ou de me lécher le cul n’est-ce pas? Tu as envie de lécher mon cul petite chose?

– J’en rêve tous les jours de lécher votre cul Madame

– J’aime comme tu m’appelles Madame, j’ai toujours mouillé à t’entendre dire cela. Plus de petites branlettes minables, tu sais, tu ne jouis que quand je te le dis, peut être pas pendant des mois. Nala cela fait juste une année qu’elle n’a pas joui, cela la rend si dépendante, c’est très excitant que je jouisse devant elle, ou avec d’autres vrais mâles. C’est cela que tu veux ma petite chienne, que je fasse de toi une femelle obéissante?

– Oh oui Madame, tout ce que vous voudrez?

– Tout ce que je veux?

– Oui absolument Madame.

– Alors pour commencer je veux que tu jouisses une dernière fois avant longtemps, très longtemps, tu as dix secondes, sinon tu ne jouiras plus jamais je te le promets!

Elle n’a pas eu le temps de terminer sa phrase que j’éjacule en elle en hurlant mon plaisir. Ma vue devient noire, je cherche mon souffle, l’orgasme n’en finit Beylikdüzü Escort Bayan pas, je crois que je vais mourir. Je devine le regard acéré et sarcastique de Katia, qui attend que je revienne à moi pour se lever et se diriger vers Rodololphe. Sans un mot il comprend ce qu’il doit faire, redresse la tête et lèche doucement la vulve de sa, de notre Maîtresse. Il avale tout le sperme que je viens de déposer, sans résister, avec une certaine ferveur. Katia n’est pas longue à jouir sous la langue experte, s’agrippant à ses cheveux pour ne pas s’écrouler.

– Qu’est-ce que tu fais encore sur le canapé, ce n’est pas la place d’une chienne comme toi. Allez vite, à poil et à genoux par terre.

J’obéis comme saisi par un choc électrique. Je pensais que le désir disparaitrait avec l’éjaculation, mais Katia ne m’en laisse pas le loisir. Et la tête me tourne toujours, je n’ai pas d’autres options et j’ai décidé d’y prendre du plaisir! Et de m’y adonner totalement.

Katia sort de son sac un petit sachet, en me souriant.

– Chose promise, chose due. Je t’ai pris une cage un peu plus petite encore que pour Nala. Tu es plus vieux, elle doit être plus petite. Tu vas voir d’ici quelques semaines tu y seras bien habituée. Viens ici que je te la mette. Nala apporte moi des glaçons elle est encore en train de bander, elle est pire que toi tu sais?

Les glaçons ont raison de mon érection, et Katia l’enferme dans une cage minuscule et très serrée. La sensation est très excitante mais le moindre gonflement de ma verge fait rentrer de petites pointes acérées que je n’avais pas vues, dans mes chairs sensibles. Je me roule de douleur par terre, sans savoir comment faire cesser la douleur. Katia s’amuse beaucoup, puis me passe une chaine autour de la taille qui maintient la cage collée contre moi. Comme Nala. C’est certain nous ne pourrons pas nous libérer.

Je n’ose croire que je vais la garder des semaines, mais je sais que Katia fait toujours tout ce qu’elle dit. Et je la crois quand elle dit que Nala ne l’a pas quittée depuis un an. Un an aujourd’hui, et elle va être libérée et avoir le droit de jouir avant d’être enfermée à nouveau un an nous annonce-t-elle. J’apprends aussi qu’elle m’a prénommé Lucie, elle trouve que cela me va bien. Nala et Lucie ses deux chiennes. Je suis toujours ivre et fiévreux de mon désir pour cette femme magique et sublime. Vénéneuse et toxique j’en suis certain, mais je suis intoxiqué, il n’y a rien à faire pour me sauver. Me vient l’envie qu’elle me batte. Je ne sais pas pourquoi. Décharger la tension?

A peine sa cage ouverte, le sexe de Nala jaillit magnifique et puissant. Sa première érection depuis un an. Je vois Katia sourire, et m’intimer l’ordre de venir le sucer. Sucer mon fils?!? Non sucer son esclave, j’ai changé de monde, plus rien n’existe. Je n’ai jamais sucé, mais son ordre devient mon envie. J’approche et je prends le sexe doucement dans ma bouche. Son odeur et son goût son très forts, cela ne m’arrête pas au contraire, cela me permet de sombrer encore plus fort. Je me mets à bander et à gémir de douleur, sous les moqueries de Katia, me traitant de pédale et me promettant à des gang bangs de males en rut. J’avale le prépuce, je caresse les bourses et très vite Nala jouit en moi. Voulant être une bonne femelle, j’avale tout, sans rien en perdre. Le goût me révulse, et j’en jouis masochistement. Cela m’enfonce encore plus. Katia me prend en photo, voulant que tout le monde sache la salope que je suis.

Katia me fait mettre à 4 pattes, les mains loin devant, la tête au sol. Je suis cambré comme elle le souhaite. Je réalise d’un coup ce qu’elle veut faire, mais je ne fais pas le moindre mouvement pour refuser. Je suis devenue une vraie larve, je laisse faire. Je ne vaux pas mieux que Nala qui aussi obéis sans poser de question, ni résistance. Cette femme nous subjugue. Il bande déjà à nouveau. Il met un peu de salive sur mon cul ainsi offert, mon cul vierge. Il pose le bout de son sexe, je frémis. Je ne sais pas à quoi m’attendre, j’ai peur de beaucoup souffrir. Et pourtant non. Sur les ordres de Katia, il vient très doucement, millimètre par millimètre, se retire pour me laisser respirer, trouve de la lubrification naturelle au bout d’un centimètre, continue encore. Cela dure peut-être 20 minutes, et je n’ai plus qu’une envie c’est sentir son membre au fond de moi. Je supplie Maîtresse qu’il me défonce, et l’ordre tombe. Il me prend comme un forcené en manque de femelle. Je me sens cloué au sol, coupé en deux. Mon sexe dégouline de sperme sans que je ne fasse rien, les sensations sont intenables, je gémis, je supplie, je pleure, mais rien n’y fait. Tans que Katia ne donne pas l’ordre il continue.

Elle nous regarde, toujours nue, les jambes écartelées, se masturbe longuement en nous regardant après nous avoir miltraillées. Elle m’explique avoir eu envie de cette image d’un père et de son fils s’enculant devant elle depuis qu’elle est toute petite, et que le résultat dépasse ses espérances. Elle nous promet à toutes deux une vie d’enfer et de sexe, de souffrir tous les jours pour elle et exige Beylikdüzü Escort une dévotion de chaque instant. Chacun nous lui jurons appartenance absolue et totale. J’apprends que dès cette nuit je serais tatouée puisque maintenant je suis une bonne femelle. Elle ne veut plus jamais que j’ai le cul vide, comme le gode de Nala, que je me sente ainsi totalement femelle. Elle m’excite terriblement, mon sexe saigne des pointes qui le déchirent tant j’ai envie de jouir, en vain.

Elle se moque de nous ne pouvant plus jouir, ou si rarement. Nala n’a pas le droit de jouir en moi cette fois-ci, il jouira l’année prochaine peut être. Quand à moi, elle me regarde sadiquement, et me dit que sa décision est que je ne jouisse plus jamais. J’ai bien assez joui ainsi et j’ai mis bien trop de temps à ramer à ses pieds. Je gémis longuement, je ne sais plus de quoi. C’est tellement excitant. Enfin elle demande à Nala de cesser mais de ne pas se retirer. Le regard brillant elle lui demande de se vider en moi! Je sens mon ventre se remplir de liquide chaud après quelques minutes. Cela semble ne pas devoir s’arrêter. Mes intestins commencent à se contracter. Une fois retiré, le besoin d’aller aux toilettes est fou mais je dois d’abor nettoyer mon enculeur. Je ne rechigne pas et m’applique, attendant ma libération honteuse. Je n’ai pas le droit de fermer la porte et elle entend clairement mes intestins se vider. Je n’ai jamais eu aussi honte. Quand enfin je suis vidé, Nala est dans sa position habituelle, sa cage est à nouveau en place pour un an.

Il est plus de minuit et le tatoueur vient de finir mes deux tatouages. L’un comme celui de Nala, et l’autre, sur l’autre poignet, indique que je suis Lucie la femelle maso de Katia. Le tatoueur en a vu d’autres mais avoue que c’est très excitant et que j’ai beaucoup de chance. Vraiment? Oui je crois. Nala nous attend dans la voiture. Avant de sortir Katia me prend par le bras.

– Nala a oublié de t’annoncer une grande nouvelle tout à l’heure. Avec tous ces évènements il est vrai.

– Que vous alliez vous marier?

– Non cela il te l’a dit!

– C’est quoi cette grande nouvelle? (Mon dieu, que peut-elle m’annoncer?)

– Je suis enceinte!

– Quoi?!? Mais je croyais que Nala était restée dans sa cage depuis un an (je l’appelle Nala ce qui me permet de prendre de la distance avec la relation)

– Exactement. Je suis enceinte de deux mois, et la datation faite par ma gynéco est du Mercredi 9 mai. Elle n’a pas précisé l’heure, mais je dirais 20h10!

– Mais non! Ce n’est pas possible (Elle me manipule encore)

– Je baise tous les jours c’est vrai, mais la seule personne avec qui je l’ai fait sans capote depuis mes 13 ans, c’est toi dans ton cabinet. J’ovulais, je le savais très bien, et je voulais que ce soit toi qui me mette enceinte. Délicieux non?

– Mais, Mais Rodolphe le sait?

– Que je suis enceinte? Oui bien sur

– Et que c’est moi le père?

– Non cela c’est notre petit secret, enfin un autre petit secret. Il est persuadé être le père car il sait comment je fais attention.

– Mais comment serait-il le père?

– En rentrant ce fameux mercredi, je l’ai trait, une technique pour récupérer le sperme. Je lui ai fait croire que je me l’étais injecté, je l’ai en fait jeté. Et voilà le travail.

– Mais c’est monstrueux!

– Tu trouves? Moi je trouve cela très amusant. Tu vas être à nouveau père et grand père en même temps. Je voulais que tu le saches, je t’ai promis de te torturer chaque jour un peu plus, tu vois je tiens déjà parole.

– Mon dieu Maîtresse, je…

– Tu?

– Je vous aime tant, je ne serais jamais assez à vous. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez.

– J’en ai bien l’intention. Allez prend le volant et met Nala dans le coffre, j’ai envie d’aller voir la mer.

+++

Les 7 mois nous séparant de l’accouchement furent les plus déments que je puisse imaginer. Maîtresse ne nous laissa aucun répit, le plus souvent séparés, mais jamais sans contrôle de sa part, dégradation et humiliation.

Il ne lui fallut que 48h pour décider que je n’étais pas assez disponible et qu’il était insupportable que son esclave prenne du temps pour aider d’autres patients. Plutôt que de me demander d’alléger ma patientèle, Katia envoya de nombreux documents à la société psychanalytique à laquelle j’appartiens et au conseil de l’ordre, à mon ex-femme aussi. D’un commun accord avec ces deux institutions je mis fin immédiatement à mon activité, ma patientèle étant reprise par mon superviseur, et je perdis tout honneur et tout contact avec mon monde d’avant. Mis au ban publiquement de la société.

J’étais dans un tel état d’excitation permanente, de sollicitation par Katia et de manque de sommeil, que j’acceptais cette humiliation professionnelle et personnelle comme une humiliation érotique, comme la révélation de ma réelle place, celle d’un déchet à écraser. Mais je réalisais aussi de façon plus objective que mon cabinet était devenu une véritable charge, une sorte d’esclavage. Car si je réservais des heures pour mes patients, je n’avais plus aucune liberté et je leur appartenais. Une liberté incroyable m’était ainsi offerte, certes sous le joug de Maîtresse, mais consacrée à l’exploration de mes sensations, émotions et moi intime. Ces chaînes me donnaient autrement plus de plaisir et de bonheur.

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