Cueillie et Croquée

Categories: Genel.

Nis 1, 2023 // By:analsex // No Comment

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Amateur

Traduit de “Picked-up” un texte Cindy Silver Line

On pouvait remarquer le malaise et l’anxiété se peindre sur le visage de la jeune femme dès qu’elle entra dans le bar. Mais ce fut Jackie qui aperçut en premier la mignonne petite blonde toute tremblante – elle avait l’œil pour ce genre de chose, et pas seulement parce qu’elle était flic.

C’était un bar complètement lesbien, et Jackie savait qu’elle devait tenter rapidement sa chance avant qu’une autre gouine en chaleur ne mette le grappin sur sa proie. Il y avait pas mal de lesbiennes mignonnes au « Velours Rose », mais la blondinette sortait du lot.

Elle alla à sa rencontre et sourit « Salut, toi. » La femme noire mesurait une tête de plus que la fille en face d’elle, « Mon nom est Jackie – c’est quoi le tien, mon cœur ? »

Celle-ci avait l’air d’avoir avalé sa langue, mais elle parvint tout de même à dire « Cindy » d’une voix basse et manquant totalement d’assurance.

Jackie sourit encore plus. Ça se voyait comme le nez au milieu de la figure que Cindy était nouvelle dans la partie ; elle semblait perdue et pas du tout sûre d’avoir eu une bonne idée en venant ici : un bar lesbien dans le quartier ouest et pauvre de la ville, grouillant de gouines masculines tatouées et avec des piercings… Le jackpot pensa Jackie : il faut les cueillir quand elles sont encore fraiches !

« Viens par là, Cindy, laisse-moi te payer un verre…

— Oui Madame, » répondit la jeune femme à voix basse.

C’était impossible de louper ce juteux « Madame » elle avait fait en sorte qu’on entende clairement ce mot dit avec un peu de honte et plein de sous-entendus sexuels, Jackie su alors tout ce qu’il y avait à savoir sur la petite Cindy. Comme dans la chanson d’Eurymthics “Sweet Dreams”, « Certaines d’entre elles veulent se faire maltraiter… » Est-ce trop beau pour être vrai ? En tout cas, elle était là, Cindy, la soumise en devenir, mouillant sans doute sa culotte à la vue de Jackie.

Peut-être que Cindy n’était même pas vraiment lesbienne. Peut-être qu’elle n’était même pas venue pour être baisée – peut-être qu’elle n’était venue ici que pour le pur plaisir de se faire traiter en lavette et appeler des lesbiennes plus grandes et plus fortes qu’elle : « Madame »… elle voulait peut-être juste goûter à la saveur d’un fantasme qu’elle rêvait d’assouvir. Et Jackie aurait parié jusqu’à son dernier dollar que le sale petit fantasme de Cindy impliquait de devenir une gentille esclave lesbienne se faisant outrager par une puissante dominatrice qui la tiendrait sous sa coupe.

Une grande gouine noire comme Jackie ? Ce serait le summum, bien sûr… Jackie allait voir ce qu’elle pouvait faire pour transformer le fantasme de la petite Cindy en réalité.

« Viens par là, Cindy. » La policière noire entraina la jeune blondinette vers le fond du bar. « J’ai des amies que j’aimerais te faire rencontrer… »

****

Il était deux heures du matin passé quand elles arrivèrent devant l’entrée de l’immeuble prestigieux de Park Avenue où, grâce à son papa, Cindy possédait un appartement… En tant que courtière, Cindy gagnait un paquet de fric, un peu près trois fois ce que touchait Jackie en tant qu’agent des stups. Mais tout cet argent, avait négligemment expliqué Cindy, elle le dépensait en vêtement et en vacances. C’est pourquoi son papa avait dû lui acheter son appartement…

Elles formaient un groupe de quatre : Cindy, Jacky, et aussi les deux autres amies de Jackie qui étaient des habituées du « Velours Rose », Sarah, une comptable remarquablement grasse et qui fumait des clopes à la chaîne. Et Liz, une femme maigre, mais musculeuse avec divers tatouages et piercings et qui était la propriétaire d’un garage à tuning à Brooklyn. Elles avaient volontiers accepté l’invitation de leur amie Jackie de finir la nuit avec une petite teuf à l’appart de la jeune blondinette…

« Waouh, Cindy, jolie piaule… » gloussa Jackie en attrapant la jeune fille et en l’embrassant sauvagement. Jackie dépareillait du groupe, non seulement elle était la seule noire, mais elle aussi d’une taille hors norme.

« Pas ici, s’il te plait… le concierge pourrait voir, » se plaignit Cindy. Après les cinq tequilas que Jackie lui avait fait boire, la jeune courtière était devenue bien plus aventureuse. Cependant elle semblait encore stressée à la perspective qu’on puisse la surprendre avec ses nouvelles amies – il avait fallu beaucoup d’efforts pour la convaincre de continuer la soirée à son appartement…

Cela importait peu à Jackie qui ne se gêna pas pour lui mettre la main au cul alors qu’ils entraient dans le bâtiment, elle lança même un clin d’œil au concierge grassouillet ; celui-ci qui matait les quatre femmes avec un intérêt évident… Jackie adora voir le joli visage de Cindy devenir tout rouge d’embarras. Sans oser se mettre ouvertement à courir, la jeune femme se précipita jusqu’à l’ascenseur…

Peu après, dans le cadre confortable du grand studio du 25e étage, Cindy servait le whisky à ses trois Escort Beylikdüzü invitées lesbiennes – et se servait aussi.

Et elle buvait beaucoup trop…

****

Sur la première photo, elle était nue sur son lit, se fourrant avec un gode – Cindy reconnaissait même son propre gode bien qu’elle ne se souvienne pas l’avoir sortie.

Sur la seconde photo, elle était nue, à genoux, la tête baissée, les poignets menottés dans le dos. Elle n’avait jamais possédé de menotte, en se creusant la tête elle se rappela vaguement que ce devait être de vraies menottes de police, sortant directement du sac à main de Jackie.

Sur la troisième photo, c’était elle encore elle – un gros plan de son visage, sa langue sortie et léchant la chatte d’une autre femme, c’était une chatte noire bien sûr, et c’était tout ce qu’on voyait de l’autre femme…

« Il y en a plein d’autres… » Jackie sourit à la blondinette, un large sourire cruel et exalté se formant sur son visage sévère. La lumière du matin brillait à travers les fenêtres. Et malgré sa terreur, Cindy ne put s’empêcher de penser qu’elle allait surement arriver en retard à son travail. Mais ce n’était vraiment pas ce qui l’inquiétait le plus sur le moment.

« Ouais, un tas d’autres… » intervint la grosse gouine, sa voix débordant de joie. « T’as été un super coup…! »

Cindy eut soudain une terrible envie de dégueuler sur tout le plancher. Jackie et son aspect de dominatrice lui avait plutôt tapé dans l’œil, du moins la nuit dernière, juste assez pour lui permettre de réaliser un de ses fantasmes – mais l’odieuse grosse gouine bouffie ne lui inspirait rien d’autre que du dégoût !

« Oh tous ses affreux fantasmes, c’est du vilain, vilain. » La voix ricanante venait de derrière Cindy. C’était la gouine maigrichonne, qui ressemblait à une mécano… Elle était assise en face de l’ordi portable de Cindy, fouillant visiblement dans les données cachées qu’il contenant…

Un frisson de terreur la gagna, elle voulut se lever pour récupérer l’ordi portable. Mais s’arrêta quand elle réalisa qu’elle n’avait rien d’autre sur elle qu’une fine couverture qu’elle gardait dans le salon.

« Pose ton cul par terre, grogna Jackie. » Elle agrippa Cindy par les cheveux et s’assura qu’elle reste à terre.

« Et donne-moi cette couverture, » ricana la grosse femme, s’emparant du maigre drap qui protégeait Cindy. « Faut pas avoir honte d’être à poil, salope – pas après tout ce que tu nous as fait la nuit dernière, tu t’en souviens quand même… ? »

Cindy ne s’en remémorait qu’une minuscule partie – et c’était suffisant pour que des larmes de dégoûts lui vienne aux yeux.

« Et il y a tant que tu as encore à faire… » lui dit joyeusement Liz, la plus mince, alors qu’elle était encore en train de farfouiller dans l’ordi de Cindy. « Les potes vous devriez voir tous les trucs chelous que cette chienne kiffe… »

Jackie sourit : « Et elle devrait voir tous les trucs zarbi qu’on kiffe nous… »

« Et, » la grande noire attrapa Cindy par le menton et lui fit tourner la tête vers elle, la regardant droit dans les yeux : « tu vas y gouter… tous ces fantasmes que tu aimes – ouais, ma petite salope soumise, tu vas tous les vivre, un par un, puis tu vas expérimenter des choses que tu n’as même pas osé imaginer. Attends de voir comme on va s’amuser à jouer avec toi… esclave ! tu voulais de la douleur ! oh, tu vas en avoir – t’imagines pas comme on est impatiente de s’amuser à torturer notre petite salope jusqu’à ce qu’elle hurle. Tu voulais être dominée et baisée par des lesbiennes – eh bien, salope, tu vas te faire plus baiser qu’une pute au rabais, je te le garantis, on te baisera, nous, et aussi toutes celles à qui on voudra bien te louer ! Dans un an je te garantis que tu seras devenu la meilleure broutteuse de foune de Manhattan. Tu seras célèbre dans tous les bars à gouine,

« Oh oui, » dit avec sévérité la plus grosse, tu feras tout ce qu’on te dira de faire – et tu feras quantité de choses que tu pensais impossible… Enfin, sauf si tu préfères qu’on envoie toutes ces charmantes photos à toutes les personnes que tu connais… »

« Non, s’il vous plait, ne faites pas ça. » supplia immédiatement la jeune femme…

Les trois lesbiennes souriaient diaboliquement alors que Cindy se trouvait au bord des larmes…

***

Jackie tourna la clef et entra dans l’appartement de Cindy à 18 h 30, comme elle l’avait souvent fait au cours du mois passé – quel pied c’était d’avoir un quartier à esclave où se reposer après une longue et dure journée de travail. La journée, elle chassait des sociopathes et des criminels endurcis. Elle avait même failli se recevoir une balle il y a tout juste quatre heures dans un des coins les plus crades du Bronx – elle avait attrapé un gros dealer bien gras avec un stock de coke sur lui. Il n’avait pas été assez rapide pour sortir son calibre caché, mais il avait quand même réussi à lui assener une bonne droite dans la tête avant qu’elle ne réussisse Beylikdüzü Escort Bayan à le maîtriser avec l’aide de son coéquipier. Sa tête lui faisait encore un mal de chien – elle avait presque eu besoin de points de suture. Dieu merci, elle n’avait pas tiré sur ce fils de pute, l’avocat chic et blanc comme une colombe aurait porté plainte pour brutalité policière. Quand bien même son client était un béhémot de 150 kilos défoncé avec la came qu’il vendait. Il aurait buté un flic sans aucune hésitation, et malgré qu’elle soit aussi noire que la sombre merde qu’elle avait arrêtée, elle avait dû passer deux bonnes heures à se faire sermonner sur le sujet du profilage racial par son lieutenant — qui comme l’avocat était blanc comme une colombe et s’habillait plus comme un PDG d’entreprise que comme un policier, et voir Jackie l’ennuyait clairement : c’était une femme forte grande, noire, et fièrement lesbienne. Elle savait manier un flingue et prenait ses propres décisions dans la rue – la rue où des clowns comme lui n’auraient pas survécu une heure… Et un clown comme lui pouvait très bien être le précieux papa de la petite Cindy ou son oncle ou un truc du genre… Voilà une pensée qui lui remonta le moral et lui fit oublier les frustrations de sa journée… – Après tout elle avait une de ces chiennes -blanche comme une colombe- totalement sous son contrôle, non ?

Cindy attendait Jackie comme elle y avait été entrainée – complètement nue à l’exception d’un collier pour chien qui aurait paru moche même sur un bulldog. Elle était à quatre pattes au milieu du salon quand Jackie entra, sa tête arquée pour regarder celle à qui elle appartenait :

« Pitiééééé baisez-moi Maitresse….. s’il vous plaiiiiit, baiser votre chienne, » pleurnichait-elle avec la voix la plus en manque qu’une fille pouvait atteindre, et elle n’attendit pas la réponse.

À la place, elle se traina vers Jackie comme une chienne malhabile tentant de se dépêcher et se mit à lécher les bottes de police de Jackie « C’est bien, » pensa Jackie. Ses bottes avaient clairement besoin d’être nettoyées après qu’elle ait battu le pavé dans le Bronx toute la journée.

« Ça suffit, Salope… » Jackie finit par l’arrêter et passa devant la jeune fille blonde qui gardait sa posture de soumission. Elle s’assit sur un siège confortable :

« À genoux, esclave, » ordonna-t-elle et Cindy prit immédiatement la bonne position : sur ses genoux, les cuisses largement écartées, son dos droit comme une flèche, ses mains plaquées contre le dos de son cou…

« Alors, dis-moi esclave, » s’enquit Jackie, « tu t’es fait virer aujourd’hui ? »

Cindy déglutie, ses yeux fixant le sol elle répondit anxieusement : « Non Maitresse, pas encore. », sa voix dégoulinait de honte et de peur.

« Méchante, méchante, méchante fille. » Jackie tapotait son pantalon, seulement à moitié en colère : « Tu vas finir par me couter un paquet…. »

Jackie, Sarah, et Liz avaient un pari en cours – sur la date à laquelle Cindy serait virée de son boulot si hautement respectable… Jackie avait parié qu’on la renverrait avant la fin du mois, date qui s’approchait à grands pas. Elle avait espéré gagner grâce à la nouvelle tenue de travail de Cindy, qui consistait en la plus courte mini-jupe en lycra que Jackie ait trouvée, un chemisier quasi transparent et des chaussures à talons si hauts que seule une bimbo en chaleur porterait. Cela n’avait produit que des réprimandes mi-amusées, mi-ravies de la part des supérieurs masculins. De même quand Cindy proposa en guise de pot de vin au milieu d’une rencontre en tête à tête de tailler une pipe à un important client ; et bien au lieu de se faire virer à coup de pied dans le cul, elle avait obtenu une plus grosse commission et à des trajets journaliers à faire chez ledit client pour lui prodiguer des « conseils d’investissement ». Tout cela était loin du but recherché : être une esclave lesbienne disponible 24 h sur 24. Peut-être que si on la surprenait à baiser un des concierges — noir, sans nul doute — de sa boite elle obtiendra son expulsion immédiate. Jackie décida que le matin prochain elle lui donnerait cet ordre précis, et elle savait que Cindy ferait les démarches pour lui obéir… mais d’abord Jackie devait lui administrer une punition bien méritée pour avoir échoué à se faire mettre à la porte — car dans deux jours ce serait au tour de Sarah d’avoir la chance de remportée le pari… Et Jackie n’aimait vraiment pas ça.

Son regard se posa sur la télé géante placée au milieu du salon – il y a avait un défilement de diapo dessus : toutes des photo de Cindy qui la montrait nue dans des positions aussi compromettantes qu’humiliantes – Cindy passant d’un broutage de minou à un autre, Cindy punit et violée, Cindy se baisant elle-même avec différents outils obscènes, Cindy attachée avec du matériel de bondage et se faisant fesser… Une adresse web restait fixée en haut : www.cindycooperthelesbianfucktoy.net. Si quelqu’un essayait de se connecter au site il se trouverait Beylikdüzü Escort face à une page demandant un mot de passe… et avec autant de Cindy Cooper dans le bottin, qui pouvait savoir de qui il s’agissait? À l’exception bien sûr de Jackie, Sarah et Liz qui avaient accès au site et pouvait s’y connecter même de leur téléphone portable. Une fois le mot de passe tapé, un bouton indiquait : “Envoi de tous les documents et photo à la liste de contact de Cindy Cooper”. Un jour, Sarah s’était amusé à laisser le site sans protection jusqu’à ce que Cindy parvienne à la faire jouir – la jeune courtière avait déployé tous ses talents et réussit à provoquer un orgasme à la grosse comptable en à peine de 90 secondes… Mais elle eut encore à la supplier pour qu’elle daigne remettre le site sous la protection du mot de passe…

En ce moment Cindy restait à genoux, regardant attentivement Jackie et attendait ses ordres. S’il y avait une chose dont la policière était sûre, c’était que le fantasme de Cindy de se faire dominer n’avait été qu’un désir fugace qui lui était très vite passé, et qu’elle n’était absolument pas lesbienne. C’était une bonne petite fille hétéro — qui détestait franchement de se faire toucher par des lesbiennes, et pour qui être sous le joug de gouines la baisant sauvagement et sans répit était un cauchemar. C’est ce qui rendait les choses d’autant plus amusantes. Qu’est-ce qu’il pouvait y avoir de mieux pour trois dominatrices qu’une jolie jeune fille hétéro à leur merci, une fille trouvant abject d’être soumise à des lesbiennes perverses, mais qui n’avait pas son mot à dire dessus ? Une fille avec laquelle elles pouvaient jouer, mais qui ne voulait pas servir de jouet… C’était presque trop beau pour être vrai…

Jackie se leva et utilisa ses menottes de police sur les délicats poignets de Cindy, emprisonnant ses mains dans son dos – Jackie possédait une large variété de matériel de bondage, mais rien ne lui procurait plus de plaisir que de recourir à ses bonnes vieilles menottes de police, sans avoir à craindre d’accusations de brutalité policière ou de droit des accusés ou n’importe quelle autre débilité du genre… Contrairement aux dangereux criminels et membres de gangs contre qui elle luttait quotidiennement, Cindy était là pour être asservie et enchaînée de la façon dont sa Maîtresse le souhaitait, sans qu’elle ne puisse proteste et sans qu’aucune limite ne soit posée… Jackie attacha sa chaîne préférée aux menottes et la fixa au crochet placé au plafond – puis elle tira. Par effet mécanique, Cindy se retrouva penchée en avant de 90 degrés. Sa tête et son bassin étaient presque au même niveau, ses bras derrière son dos étaient tirés vers le haut, ses gros nichons pendaient obscènement en face d’elle, et sa longue chevelure blonde formait un rideau devant sa figure inquiète, ses jambes galbées étaient droites et rigides et plus important encore, sa position contraignante lassait son beau cul bien rebondi en hauteur et complètement sans défense ; une cible bien alléchante pour sa Maîtresse…

Mais s’il y avait une chose qui attirait l’œil encore plus que sa nudité totale et sa posture vulnérable, c’était ses tatouages… Un sur chaque fesse, et un autre dans le bas de son dos. Ils avaient été réalisés à l’aide d’une encre rouge intense et opaque. Celui dans le bas de son dos représentait une femme nue enchaînée à quatre pattes, léchant le pied botté d’une dominatrice dont on ne voyait que la jambe couverte de cuir et son long fouet. L’image était entourée en demi-cercle par les mots : « Je suis une salope d’esclave lesbienne  »… le tatouage sur la fesse droite disait « Baisez-moi », et celui sur la fesse gauche « Prête pour une fessée ». Qui pourrait résister à une offre aussi effrontée ? Jackie glissa tendrement son doigt sur les tatouages, se rappelant à quel point ç’avait été épatant de les caser à ces endroits – peut-être que Cindy n’avait pas le même avis :

D’une, elle avait abondamment pleuré et supplié pour ne pas les avoir. Elle avait paru complètement humiliée en entendant ce qui serait définitivement imprimé sur son corps dans la fleur de l’âge. De deux, elles avaient requis les services d’un tatoueur infect situé dans un coin miteux de Brooklyn, près de l’atelier de tuning de Liz. Le gras du bide de 130 kilos avait accepté pour paiement les faveurs sexuelles de Cindy pour un jour entier – elles avaient des cassettes de ça aussi, mais c’était assez décevant, le gros porc n’avait pas pu faire grand-chose d’autre que de laisser la fille le chevaucher pendant des heures non-stop, ce qui n’avait pas empêché la petite esclave d’en être tout autant dégoûtée et humiliée…

Jackie pouvait voir de légères zébrures sur les tatouages, résultant de la punition que Cindy avait reçue quelques jours plus tôt. Quoi de plus normal ? Punir une esclave est la prérogative d’une Maîtresse. Cindy était une esclave, et elle n’existait que pour fournir un divertissement et du plaisir à Jackie et ses amies. Souvent, ce divertissement se concrétisait en la baisant de toutes les façons possibles. D’autres fois, Jackie prenait son pied en punissant et humiliant la petite salope… cela dépendait de son humeur… Et en ce moment, elle voulait entendre hurler cette salope sous ses coups de cravache…

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